Je me suis caché derrière le mur, Michel a commencé à discuter avec sa femme dans la voiture, ça a duré, ça a duré, ça a duré, en tout cas il me semblait que cela n’en finissait plus ! Même avec un peu de recul, je serais bien incapable de dire combien de temps ça a duré. En revanche, je me rappelle bien de mes sensations. Quand Michel est sorti de la voiture avec sa femme, j’ai ressenti un soulagement. Pour l’excitation, j’étais déjà au taquet depuis le début de la soirée. Michel a attaché sa femme. Les pieds d’abord, les mains ensuite… Il a continué à l’embrasser alors qu’elle était attachée. Puis il a baissé son pantalon et est rentré dans sa femme. Dès que j’ai vu que ses yeux était bandé, je suis sorti de ma cachette. Mon rêve depuis quelques semaines. Michel m’a fait signe de venir. Je me suis approché. J’ai enlevé mes fringues pour me retrouver aussi nu que Michel. J’avais tout prévu, ça n’a pas pris longtemps. Un survêtement, c’est pratique pour ça… Il m’a fais signe de la main en sortant d’elle. Je me suis approché un peu tremblant, mais très excité. Ne pas avoir de préservatif était déjà étonnant pour moi. Je l’ai prise en me tenant loin d’elle pour qu’elle ne sente pas mon odeur. Elle a tiqué, je l’ai senti se contracter, j’ai fais des grands signes à Michel pour qu’il fasse quelque chose, il s’est placé derrière moi, je sentais son corps s’appuyer contre le mien, sa bite encore en érection, et il a commencé à lui parler. Je l’ai senti se détendre au son de sa voix. Je la baisait tandis que son mari lui parlait. Elle était vraiment magnifique (regardez la photo). Elle m’a senti jouir, il fallait qu’aucun son ne sorte de a bouche. Pour moi, qui suis bruyant quand je jouis, c’était très dur. Mais j’y suis arrivé ! Alléluia ! Elle était déçue. Michel est plus endurant que moi. En même temps, c’est sa femme !!! Je suis sorti doucement… Michel m’a remplacé en disant à sa femme que oui il avait joui mais que cela allait continué. Il a commencé à la limer fort. Il semblait très excité. Comme je me faisais mine de m’en aller, il a pris ma main, il l’a mis sur leurs deux sexes. J’ai compris tout de suite. J’ai caressé le sexe de la femme de Michel et le sexe de Michel jusqu’à ce qu’il jouisse. Elle n’a rien dit, mais elle avait bien évidemment compris que nous étions trois. J’avais de nouveau la trique. Michel m’a fait un signe de tête en désignant sa femme. J’ai fais oui. Alors je l’ai remplacé. Elle était là attachée au capot, cuisse écartée. Offerte. Je l’ai prise à nouveau. Sa chatte dégoulinait de sperme, le mien, celui de Michel. Je l’ai limé un bon moment. Michel avait repris sa position derrière moi et lui parlait…Ses contractions de jouissance m’ont achevé. J’ai lâché la sauce et je me suis sauvé… Un échange de mail avec Michel m’a rassuré. Ils n’en ont jamais parlé. Et moi, je n”ai jamais appris le prénom de la femme que j’ai pris ce soir là sur le capot d’une voiture garée derrière le cimetière d’Émerainville !
Ils ne connaissaient pas depuis très longtemps, et ils avaient instauré dans leurs jeux une certaine retenue qui ralentissaient l’apprentissage qu’ils faisaient l’un de l’autre. Un jour, ils se fixèrent comme règle de se caresser face à face, mais sans se toucher ni dire un mot.
Ils étaient donc là, elle allongée sur le lit, offrant son corps laiteux à la vue de son compagnon et lui assis dans un fauteuil, la contemplant et tenant en main la flèche d’amour. Le regard de la femme sur sa verge produisait un effet prodigieux : il lui semblait qu’un flux de force et de confiance venait directement gonfler sa hampe, lui procurant une joie qu’il ignorait jusqu’alors. Elle s’appliquait à lui dévoiler ses petits secrets et elle en frémissait des seins à la pointe des pieds. Ils s’observaient tranquillement, guettant les moindres signes de plaisir chez l’autre, et nourrissant ainsi leur désir qui devenait insupportable. La loi de retenue qu’ils s’étaient fixée faisait de cette veille un véritable supplice, un véritable délice.
Elle se retourna enfin lorsqu’elle sentit monter en elle la grande vague. Elle voulait se concentrer sur son plaisir. Comme une enfant, à plat ventre elle enfouit sa tête dans l’oreiller et fut soudain agitée de soubresauts qu’elle ne cherchait plus ni à montrer ni à cacher. Elle se laissait emporter par le courant impétueux du plaisir.
Lui se réjouissait de la vue du derrière de sa maîtresse, de ses belles fesses agitées par la houle. Il se leva, se pencha au-dessus d’elle et inonda son beau derrière d’un liquide crémeux qui s’écoulait lentement dans les creux de la belle allongée. En sentant le sperme chaud sur elle, elle poussa un petit cri doux et lent. Le liquide s’insinuait entre ses fesses, comme un fleuve tranquille dans sa vallée. Alors, il transgressa leur loi commune ! d’un doigt, il suivit sa liqueur dans le joli sillon, massant et huilant la porte secrète de la belle. Elle poussa un petit râle où il y avait peut-être « non ». Le doigt de son ami massait et enduisait de sperme le petit trou, s’y enfonçant même légèrement par instants. « Marc, qu’est-ce que tu fais ? » … Il faisait. Il en avait le cœur serré de violer la loi qu’ils s’étaient donnée et il en éprouvait aussi une sorte de joie perverse.
Peu à peu, sa verge gonfla de nouveau. La vue du bassin ondulant et des belles fesses, de la tête enfouie, des épaules blotties, le récompensait de sa transgression et l’encourageait toujours. Alors, il écarta les pieds de sa belle, fit remonter ses cuisses le plus haut qu’il put, la plaçant dans la position de l’Odalisque blonde de Boucher. Sa verge trouva le chemin de l’entrée secrète. Il l’appuya fermement contre la petite ouverture. Elle lui répondit d’un nouveau râle où il y avait encore peut-être « non ». Il insista, hésita, tiraillé entre la honte de trahir sa parole et la joie de la violer. Mais, peu à peu, un effet magique fit comme un Sésame et les chairs de la belle se relâchèrent, avalant son gland enfiévré. La bague tenait enserré son gros doigt épais et dur. Il s’enfonça encore, savourant chaque millimètre conquis, sentant le moindre spasme de celle qu’il envahissait lentement. Puis, enfin, lorsqu’il ne put plus progresser, il s’arrêta, ils palpitaient ensemble. Il la prenait et elle le possédait.
La suite,chères lectrices et lecteurs, est encore plus délectable, mais j’aime bien l’idée de vous en priver !