nov 252011

Un vendredi soir, 19 h 30. Ma copine a décidé d’inviter quelques amis. Dès mon arrivée à la maison, j’ai senti que l’ambiance était différente qu’à l’habitude. Ma copine dit que les invités arrivent sous peu et elle est en tenue très légère, pour ne pas dire, affriolante. Étant un couple ouvert, je ne m’inquiète pas de cette tenue, je m’en réjouis. Je cours prendre une douche avant le début de la soirée. Un à un, les invités arrivent, pendant que je m’active pour me rhabiller.

Nous étions, au total, quatre couples autour d’un repas bien arrosé. Le vin coulait à flot et les regards commençaient à être éloquents. Après cet excitant repas, nous sommes passés au salon, où ma copine s’est affairée à donner à boire à nos invités. J’allume le système de son, musique d’ambiance et je tamise les lumières. En me retournant, la soirée prit une tournure plus corsée. On aurait dit que tout le monde attendait ce moment.

Il ne fallut que quelques instants pour que les caresses commencent. Au début, les couples restaient entre eux, mais l’alcool suffit à les deshiniber. Les femmes furent plus rapides que les hommes. Ceux-ci les regardaient s’embrasser goulûment, n’ayant d’yeux que pour elles. Moi y compris. Je sentais déjà l’excitation me gagner. Ma femme lèvres contre lèvres avec son amie! Elles n’étaient plus du tout gênées et leur aisance suffit à encourager les autres. Les mains étaient plus baladeuses sur des corps inconnus. Que de nouvelles sensations !

Les couples se séparaient ou entraînaient d’autres personnes avec eux. Une douce odeur de sexe embaumait l’air. Voir nos amis ainsi offerts à nos yeux était un spectacle d’une incroyable intensité. Nous avions soif des autres et c’était palpable. Partout où je regardais, je voyais des seins et des chattes se faire déguster avec appétit. Les femmes ne regardaient même pas à qui appartenait la queue qu’elle suçait. Nous n’entendions que les gémissements que tous poussaient. Voir ma copine prendre trois hommes à la fois, une dans la chatte, une dans l’anus et l’autre dans la bouche, fut d’une excitation indescriptible. Sa meilleure amie, à mes genoux, suçait mon membre avec délectation.

Je la relève, la tourne et la penche. Elle cambre ses hanches et frotte sa chatte déjà toute mouillée sur ma queue durcie. D’un grand coup, je la prends par-derrière, sentant ses frissons la parcourir. Je jette un coup d’oeil à ma copine qui me regarde, d’un air diaboliquement affamé. Je redouble d’ardeur en voyant le sourire de ma femme. Son amie criait sous l’assaut de ma verge qui cognait contre le fond de sa chatte dégoulinante. Une deuxième femme s’approche de ma partenaire et lui lèche les seins. Je sentais plusieurs mains sur moi, mais je ne voyais qu’elle.

Je me retire, me retourne. J’empoigne la première que je vois et la mets à genoux. « Ouvre la bouche… » Je lui ordonne ensuite de me prendre au complet, jusqu’au fond. Elle lèche ma queue, je la gifle. « OUVRE, SALOPE! » Elle n’a pas le choix, elle l’ouvre et enfonce ma verge dans sa bouche. La bave coule sur son menton, hummmmmm, puis, sur ses seins ballotants. Je la plaque au sol, lui relève les jambes. En mordant ses jambes, je lui donne la volée qu’elle mérite. Elle frémissait en se malaxant les seins, sous les yeux assoiffés de ma copine qui se fait prendre maintenant par un homme et une femme.

Un homme se joint à nous. Pendant que je fourre cette chatte humide et chaude, il lui remplit la bouche et le visage, jouissant à grands cris. Elle se délecte de ce nectar sucré. Puis, juste avant de venir, je me retire. Je la laisse à son nouveau partenaire et pars rejoindre ma copine. Deux femmes nous rejoignent. Ma copine s’installe par-dessus l’une d’elles et me fait signe de la prendre par derrière. Je ne me suis pas fait prier! J’enculais ma copine pendant qu’elle mangeait une chatte mouillée. Je sentais la langue de l’autre passer de la chatte à ma queue. Une sensation intense et jouissive.

Après une série d’orgasmes effrénés, ma copine propose de jouer à un jeu. La queue musicale… Tous les hommes s’asseyent et les femmes doivent s’asseoir sur l’un d’eux. La dernière, celle qui ne trouve aucune chaise doit s’offrir en spectacle solitaire pour nous tous. Couchée au centre de la pièce, elle se masturbera tout le long du jeu. On commence! Musique! Quatre femmes nues défilent autour des trois hommes, tous insatiablement bandés. Moi, je ne perdais aucune seconde de ce spectacle enivrant avec ma caméra dans la main et ma queue dans l’autre.

La musique arrête. Les femmes prennent place sur leur objet sexuel et c’est une belle rousse qui doit entrer au centre. Elle se couche, je m’approche pour avoir un gros plan de sa délicieuse chatte fraîchement rasée. Elle se touche le clitoris qui gonfle sous ses caresses. Elle gémit. Je filme les autres qui s’activent sur ses queues bien dressées en augmentant la vitesse de ma propre excitation. Et à l’apothéose de ce jeu, tout le monde se mit à jouir. Nous avions atteint l’extase. Je pose ma caméra sur son pied, relève la rousse au centre et la prend en levrette jusqu’à ce que je ne puisse retenir ma semence qui explose au plus profond d’une autre chatte bien sensible.

La soirée se termina sur un ton joyeux et nous nous donnons rendez-vous deux semaines plus tard. Ça promet…

nov 232011

nov 222011

une longue, très longue, attente sur le parking de Vincennes…

une voiture stoppe, un couple sort, je m’approche un peu

monsieur baisse la jupe de madame, je m’approche très près

monsieur dirige madame vers ma braguette, je baisse tomber slip et pantalon

madame me prend en bouche… arrive bientôt une autre voiture. J’enfile un préservatif et je laisse le mec apprécier les talents de madame. Je jette un coup d’oeil à monsieur pour avoir son accord. Il regarde mon sexe encapuchonné et fais un signe de la tête pour dire vas-y. Sans un mot, je rentre dans le minou offert par monsieur. Madame gémit un peu. Le mec en face sourit, complice. Je sens bientôt que Monsieur s’impatiente. Il a baissé son falzar et s’astique le membre. Au moment où je jouis, madame gémit à nouveau. Elle a senti ma bite grossir avant que ma semence s’en échappe. Je ne saurais jamais ce qu’elle aime : les grosses bites ou le sperme. Je me retire. Monsieur regarde le contenu de la capote, une main sur la chatte de sa femme comme pour s’assurer qu’elle est encore là. Puis il s’installe à son tour dans sa chatte pendant qu’elle continue à sucer le mec. Je sors l’appareil photo, et toujours sans un mot je sollicite l’autorisation d’immortaliser l’instant. La seule phrase que j’entendrais c’est un : « Ok mais sans visage »

nov 032011

Après avoir décidé mon amie à passer un après-midi au sauna, endroit qu’elle ne connaissait que par on-dit, je m’étais promis de lui faire goûter la pluralité masculine.
Le jour dit, nous nous présentons au sauna que je fréquente régulièrement dans le Val de Marne, un cheval marin indice pour ceux qui connaissent, la clientèle est mixte, après avoir pris un peignoir pour elle et une serviette pour moi, nous allons au vestiaire. Là, mon amie qui à l’air finalement très à l’aise, se déshabille. Le regard des deux hommes présents s’attarde sur les pointes de ses seins, les deux femmes ont plutôt les yeux posés sur son ravissant derrière.
Nous nous dirigeons ensuite vers les douches, sous laquelle, Chris, mon amie, se glisse sans fausse pudeur. L’eau coule sur ses cheveux, ses seins, ses reins la transformant en véritable naïade. Ensuite, un petit tour dans le spa, assez grand pour contenir 6 personnes, propice aux caresses sensuelles. Il y a déjà les deux couples du vestiaire plus deux autres hommes. Chris vient s’asseoir sur mes genoux et nous commençons à nous embrasser. Les femmes présentes nous regardent et le spectacle ayant l’air de leur plaire, je vois leurs mains descendrent, sous l’eau, vers le sexe de leurs partenaires respectifs. Chris, qui veut voir aussi, se retourne et se rassoit sur mes cuisses son dos contre mon torse. Une des deux femmes a embouché le sexe de son partenaire et elle le suce goulûment. Chris glisse sa main entre ses cuisses à la fois pour se caresser et me caresser la bite, qui commence à durcir. Fatalement ! On vient nous rapeller à l’ordre ! Pas de calins dans le jacuzzi. C’est vrai que c’est pas hygiénique, mais franchement, dès fois… Tout le monde migre vers les “cabines” du premier étage.
Très vite, les activités reprennent. Une femme vients’empaler sur le sexe tendu de son partenaire et commence à effectuer des va et vient langoureux. Chris pour ne pas être en reste mais sans changer de position, prend ma queue et se l’enfile dans son petit minou serré et tout mouillé.
A ce moment, les deux hommes qui nous ont continué à nous encadrer, se lèvent. Ils bandent tous les deux, l’un a un sexe d’au moins 20 cm très épais, l’autre plus dans la normale n’en est pas moins fièrement dressé. Chris, qui ne m’a jamais habitué à cela, prend la plus grosse bite dans sa main et commence à lui faire une fellation lente et profonde, comme elle aime les pratiquer. Le second s’approche de la femme qui suce son mari et lui caressant les cheveux, lui présente sa queue qu’elle avale aussitôt.
Ma queue, glissé à l’intérieur de Chris est dure à me faire mal tellement le spectacle m’excite.
De voir cette grosse queue aller et venir dans sa bouche me fait bander deux fois plus, ce qui apparemment la comble d’aise, car ses va et vient sur moi s’accélèrent. Avec mon pouce, pour l’exciter encore plus, je commence à lui caresser son petit anus. Elle n’aime pas trop cela en général, mais aujourd’hui n’est pas un jour comme les autres. C’est quoi déjà le proverbe ? Ah oui toujours femme varie ! Non seulement elle à l’air d’apprécier, mais délaissant deux secondes le sexe de notre partenaire, elle m’embrasse et me glisse d’une voix devenue rauque : « Encules-moi »

Sur le coup, surpris, je me demande si j’ai bien compris, car cela n’est pas dans ses habitudes de parler comme cela et encore moins d’avoir envie de sodomie. Je continue donc mes caresses avec mon pouce, sans rien changer, mais elle insiste et réïtère sa demande. Je prends un petit étui de gel qui sont à disposition un peu partout dans le sauna, en enduit son adorable petit anus, et commence à caresser ce dernier avec ma queue. Sans rien vouloir précipiter, je présente mon gland sur son œillet et commence doucement à rentrer. Je la sens se crisper un peu, puis d’un seul coup, elle se détend et s’enfonce d’elle-même en poussant un petit cri. Elle a cessé de sucer notre partenaire d’un jour, mais le tient encore dans sa main. Je n’ose pas bouger. Je la caresse doucement en n’espérant qu’elle n’ait pas trop mal, puis doucement, lentement, je la sens se mettre à bouger.

Elle reprend sa fellation. Elle est maintenant totalement détendue et ma queue coulisse en elle sans problème. Je l’entends gémir de plaisir. J’éprouve des sensations tellement fortes, de la prendre de cette façon, que je ne sais si je vais résister longtemps. Elle doit le sentir, car d’un coup, elle se redresse, vient appuyer son dos contre mon torse, et tout en tenant la queue qu’elle suçait, présente un préservatif à notre partenaire. Ce dernier l’enfile très rapidement, Chris le reprend avec la main et le dirige vers son minou. Je n’en reviens pas de voir ma chérie, dans cet état de plaisir et de liberté totale. Je sens la queue de notre ami s’enfoncer en elle. Quelle sensation !!

Je le sens coulisser en elle, je n’ose plus bouger. Ses va et vient me branle d’une façon incroyable. Chris a fermé les yeux, rejeté sa tête en arrière. Je l’embrasse dans le cou, lui caresse les seins. Et là j’entends ses gémissements se faire plus rapides, plus forts, annonciateur de son plaisir. je ne peux plus tenir.
Je lui glisse doucement à l’oreille que je vais jouir. Alors elle accélère ses mouvements de bassin. L’homme accélère aussi et commence à prononcer des mots qu’elle ne suporterais pas d’habitude. « Oh oui salope, bouges bien! Tu aimes ça te faire baiser par plusieurs queues ! Quelle chienne tu fais ! »
Et d’un seul coup, je sens sa queue gonfler à l’intérieur de ma chérie, et je sens les saccades de sa jouissance, qui déclenchent la mienne et celle de Chris.
Quel bonheur !
Nous restons collés tous les trois,le temps de redescendre sur terre.
J’embrasse tendrement Chris.
Notre partenaire se retire. Cris abaisse ses jambes. Je l’entoure de mes bras, comme si elle était une petite fille.
L’homme l’embrasse sur la joue en lui disant merci.
Nous restons dans les bras l’un de l’autre, envahi par la chaleur du bain.
Nos voisins que l’on avait complètement oublié, ont apparemment profité du spectacle, tout en jouant de leur coté.
Un peu plus tard, après une douche réparatrice, Chris me fait promettre, en échange du plaisir qu’elle m’a donné aujourd’hui, de me soumettre à un de ses caprices lorsqu’elle me le demandera.
Je ne peux qu’accepter, tout en étant curieux de savoir ce qu’elle me réserve.
Mais cela, c’est une autre histoire.

nov 022011

Liliane est laborantine dans une pharmacie lilloise. C’est une fille sérieuse à son boulot, toute rose dans sa blouse blanche, gentille et serviable. Très BCBG. D’ailleurs, ses parents sont tous deux médecins. A vingt-trois ans, elle habite toujours dans leur grande maison de Lambersart. Elle mène une existence bourgeoise, confortable et banale. Une vie de petite fille riche. Par ces temps de crise, c’est une chance. Mais d’un autre côté, elle s’ennuie souvent.

Heureusement, il y a les sites de conversation sur la toile. Pour elle, c’est une fenêtre ouverte sur la diversité. Quand elle est seule à la maison, elle se connecte à des sites de rencontres. Sans grande originalité, son pseudonyme est Lili23. Le « 23″ désigne son âge. Des hommes viennent la draguer. Il y en a d’aimables et d’autres qui sont drôlement cochons. Elle-même se fait tantôt confidente tantôt provocante. Elle surfe au gré de sa curiosité. Bien sûr, c’est un jeu. Un jeu de rôles. Un passe-temps d’intellectuelle. Liliane n’envisage aucunement de rencontrer les autres pseudonymes. Qui sont-ils ? Le prince charmant décrit dans le profil ? Ou bien de vieux messieurs libidineux ? Quelle horreur ! Liliane est prudente. Elle se limite au virtuel.

Le virtuel n’a d’autres bornes que celles de l’imagination. Et Lili23 ne se prive pas de délirer. Timide dans les premiers jours, elle ne recule plus devant l’audace. Un de ses jeux favoris est de faire croire qu’elle organise des concours de gros sexes… Elle pianote avec espièglerie : « Concours de bites ». C’est son côté carabin. Elle raconte qu’elle se donnera au gagnant. Elle reçoit toujours un déluge de réponses de la part de joyeux drilles. Ca l’amuse. La plupart se lancent dans une description extraordinaire de leurs attributs. Certains lui envoient même des photos ! Il y en a qui demandent le lieu et la date du concours. Elle donne des indications fantaisistes. Par exemple : « Derrière la palissade du parking désaffecté, sur le côté de la gare routière, ce samedi à 20 heures ». C’est de la rigolade.

Un seul correspondant a l’air de prendre le concours de bites au sérieux. Son pseudonyme est Afro18. Il a soi-disant dix-huit ans. Liliane ne compte plus les fautes d’orthographe dans ses courriels. Comme si l’exaltation lui mélangeait les doigts sur le clavier ! Malgré les propos frustes du jeune homme, une certaine alchimie s’opère entre eux. Liliane n’a pas le coeur de l’envoyer paître. Elle diffère le concours de jour en jour, sous des prétextes futiles. Lui, semble garder l’espoir que le fameux concours aura bien lieu. Comme il se fait pressant, elle finit par lui dire comme à d’autres : « Derrière la palissade du parking désaffecté, sur le côté de la gare routière, ce samedi à 20 heures ». Et puis elle n’y pense plus.

Le samedi, Liliane laisse la pharmacie à 20 heures. A la sortie de son travail, elle part prendre un autocar à la gare routière pour se rendre chez elle à Lambersart. Tandis qu’elle longe la palissade du parking désaffecté, elle se souvient du rendez-vous qu’elle a fixé à Afro18. Par curiosité, elle cherche une fente dans la palissade. Elle en trouve une et risque un œil de l’autre côté. Elle aperçoit un jeune Africain qui peut avoir dix-huit ans. Il est mignon, musclé. Liliane ne sait pas si c’est effectivement Afro18 ou bien si c’est un type qui traîne par-là. De toute manière, elle passe son chemin. L’autocar qu’elle doit prendre quitte la gare quelques minutes plus tard.

Sur la toile, Afro18 est déçu. Il s’est bien rendu au rendez-vous. Le pauvre a tout de suite compris que Lili23 se moquait de lui, puisque aucun autre homme ne s’y trouvait. On ne peut pas concourir tout seul ! Liliane ne sait que répondre. Alors pour faire diversion, elle change de sujet.

Elle lui demande si le « 18″ dans son pseudonyme correspond à son âge. Il la détrompe : c’est pour « 18 centimètres ». Liliane sourit. C’est une taille honorable par rapport à la moyenne mondiale qui est de 15 centimètres. Mais dans un concours de sexes, elle en imagine de plus avantageux ! Afro18 la séduit par sa naïveté. Derrière la palissade, ce garçon ne lui a pas paru méchant. Et puis, elle est son aînée de cinq ans, ce qui lui confère un léger ascendant. Elle se demande si elle ne pourrait pas le rencontrer, finalement. Histoire de lui serrer la main, de s’excuser et de se quitter bons amis. Brave fille, elle décide donc de lui fixer un nouveau rendez-vous, mais dans un café cette fois.

C’est le lendemain, à la buvette de la gare. Afro18 est pile poil à l’heure. Liliane doit insister pour qu’il prenne une consommation. Il ne parle pas un bon français. Liliane comprend qu’il n’est pas dans le pays depuis longtemps. La situation de ses papiers n’est pas nette, paraît-il. Manifestement, il est mal à l’aise. Il prétend qu’il cherche du travail sur internet, avec l’aide de camarades. En fait, il semble surtout fréquenter des sites que visitent des amatrices de jeunes blacks. Est-ce que Lili23 aime les noirs ? Liliane répond qu’elle aime la terre entière. Mais la conversation est laborieuse. Afro18 est nerveux et semble pressé de quitter le café. C’est dommage. Liliane aimerait en savoir davantage sur lui et sur ses difficultés. Tant pis ! Ils finissent par s’en aller. Une fois sortis, Afro18 est fébrile. Une étrange lueur brille dans ses yeux. Il semble attendre quelque chose. Liliane lui propose son numéro de portable, au cas où il serait dans le besoin.

Mais Afro18 fait comprendre qu’il voudrait qu’elle le suive. Où ? Pourquoi ? Elle ne saisit pas. Elle le suit toutefois, par bienveillance. La sollicitude envers les plus défavorisés n’est-elle pas naturelle ? Alors qu’ils parviennent à la palissade du parking désaffecté, Afro18 lui désigne un passage. Liliane proteste qu’elle n’a rien à faire derrière cette palissade, surtout que la nuit tombe ! Mais Afro18 prend un air de chien battu. Quelles sont ses intentions ? Il bégaye piteusement. Le pauvre fait presque pitié ! C’est déraisonnable, mais Liliane peine à croire qu’un garçon si bien fait de sa personne peut lui vouloir du mal. Et puis, Lili23 a quelque chose à se faire pardonner. Alors, tout en se demandant si elle ne commet pas la plus grande bêtise de sa vie, Liliane se décide à franchir la palissade qui sépare les lumières de la ville de la pénombre grise du parking. Ce sera sa B.A. pour aujourd’hui.

Comme dans un mauvais film d’épouvante, la frêle Liliane déambule dans l’ombre d’Afro18. Ils descendent tous deux dans la partie souterraine du parking, ce qui l’inquiète beaucoup. Le coin est vraiment sinistre. Soudain, elle s’aperçoit que deux autres mecs les attendent, à la lueur d’une lampe à gaz. Ils ont dans les seize ou dix-sept ans. Patatras ! Liliane se convainc qu’elle est tombée dans un piège, comme une innocente. Paniquée, elle veut crier mais elle reste muette. Elle a conscience d’avoir la bouche ouverte mais aucun son ne s’en échappe. Cependant, Afro18 semble navré de cette frayeur. Et les deux autres garçons paraissent encore plus déconcertés que lui. Aucun n’a de gestes hostiles. Aucun ne fait mine de la toucher. Au contraire, ils se tiennent à bonne distance. En dépit des apparences, ou des idées préconçues, il ne s’agit peut-être pas d’un guet-apens. Alors quoi ?

Toujours sur ses gardes, Liliane a l’intuition de ce qui se passe. Son estomac se noue subitement. C’est simple : Afro18 lui organise le concours de bites ! Avant qu’elle puisse en douter, les trois garçons cyniquement alignés baissent leurs pantalons. Ils s’exposent mi-nus devant elle ! Carrément ! Avec une impudeur consternante… Liliane ne sait où se mettre ! Par une logique implacable, la voilà confrontée à la réalisation de son fantasme. Mais le rêve exaucé n’a rien d’érotique… On dirait de sordides vendeurs à sauvette. Qui déballent complaisamment leur marchandise, sans scrupule. En l’occurrence, de longs boudins vaguement visqueux. Ce sont leurs bites vivantes, obscènes. Tant ils sont certains que l’étalage de leur écoeurante nudité exercera sa séduction perverse sur Lili23. Ne se décrit-elle pas comme une nymphomane en chaleur, qui organise des concours de bites, pour se faire prendre par les plus grosses ?

Bizarrement, aucun des trois sexes ne se dresse. Pendus aux bas-ventres, ils balancent entre les cuisses. Ils ne sont pas si gros mais surtout très longs. Liliane se dit que 18 centimètres, c’est la dimension au repos. Les types se comparent les uns les autres, puis leurs regards convergent vers Liliane. Ils scrutent chez elle les signes de lubricité. Ils lui sourient pour témoigner de leur complicité salace. Ils ne doutent pas que Lili23 est comblée par leur triste initiative. Quelle certitude dans la bassesse de ses instincts ! Telle est prise qui croyait prendre ! Liliane s’interroge sur la façon de se sortir de cette farce. Elle n’est pas sûre de pouvoir rebrousser chemin. Et puis, les trois garçons commencent à s’exciter. En tout cas, ils se mettent à se masturber…

Ils se masturbent et leurs sexes se redressent, pour le coup. Ils deviennent disproportionnés. Liliane veut expliquer qu’il y a méprise. Mais Afro18 hausse le ton. Il commande à Lili23 d’approcher, dans un désordre impressionnant de mouvements. Il est véhément. Liliane préfère obéir, de crainte de l’exciter davantage. Il lui montre un mètre ruban posé sur un vieux pneu. C’est le moment de mesurer ! Les types sont toujours dans leur délire de concours… Qu’à cela ne tienne, Liliane les mesure sagement l’un après l’autre. Le suspense est insoutenable. Les nominés s’angoissent… Et le gagnant est… Afro18 ! Avec 22 centimètres !

Ses deux concurrents félicitent le vainqueur, avec des clins d’oeil graveleux en direction de Liliane. Ils remballent leur bite à regret puis disparaissent dans la nuit. Liliane est soulagée de ne plus se trouver qu’en présence d’Afro18. Avec une bande d’adolescents, des dérapages sont toujours à craindre. Il suffit d’un geste de trop et tout bascule. C’est qu’elle n’oublie pas qu’elle s’est promise au lauréat. Quelle folie ! Le garçon est capable de s’imaginer qu’elle est consentante pour faire l’amour avec lui. Comme si les filles bien élevées donnaient leurs jolis derrières à des inconnus dans les parkings désaffectés, la nuit venue ! Hélas, Afro18 se déculotte complètement ! Il espère toucher sa récompense !

Pour commencer, Afro18 veut que Lili23 le masturbe ! Ses mimiques sont sans équivoque à ce sujet. Que faire ? Maligne, la jeune laborantine se dit que c’est un moindre mal. Elle n’a qu’à le faire éjaculer. Vidangé, il se calmera ! Elle sera tranquille… Considérée sous cet aspect physiologique, l’opération en devient presque thérapeutique. Liliane prend donc le sexe entre ses doigts et se met à branler. Au demeurant, c’est une gâterie qu’il lui a déjà fallu consentir à Hubert et Charles-André. Avec un peu de technique, ça ne dure pas longtemps. Deux minutes ? Trois minutes ? Par malheur, Afro18 se révèle bien plus endurant. Ce n’est pas que Liliane ne soit pas vaillante mais branler un engin si long et si gros n’est pas si facile. Elle essaie des deux mains. Rien n’y fait ! Le calibre la désespère. Bientôt, ses bras la font souffrir.

Afro18 s’en désole. Pour éviter la crampe, il réclame une fellation. Cette fois, c’en est trop. Liliane proteste que ça va comme ça et qu’elle veut partir. Le jeune homme fait des gestes rassurants. Mais il n’a rien compris. Il croit que c’est une simple question d’hygiène. Qu’à cela ne tienne ! Dans le parking, il y a un tuyau d’eau. Il s’en empare, ouvre le robinet et se rince abondamment. Sa bite est impeccable. Rien à redire sur la propreté ! Pas une odeur, plus une saleté ! Pour en finir une bonne fois pour toutes, Liliane s’accroupit aux pieds d’Afro18 et le lèche tout au long de la queue. Puis elle lui suçote le gland, du mieux qu’elle sait faire. Avec Hubert et Charles-André, l’éjaculation est rapide. Quand elle sent venir le sperme, elle se dégage tout en recrachant ce qu’elle a pu avaler. C’est le prix que la condition féminine doit payer au désir égoïste des hommes. Voilà tout ! Malencontreusement, avec Afro18, le temps passe sans qu’il se lasse. Toujours accroupie, Liliane s’épuise. Elle finit par perdre l’équilibre. Elle se relève péniblement et chancelle…

Afro18 l’agrippe par la taille. Elle lui doit de ne pas tomber, au risque de se blesser. Le jeune homme en profite pour l’embrasser. Ou plutôt, pour lui filer un patin de première bourre. Ses lèvres sont salement charnelles. Sans hésiter, il enfonce la langue. Liliane est surprise. Le garçon embrasse bien. Certes, c’est un foutu grossier personnage. Mais il est beau, musclé et il embrasse bien. Et puis, en fin de compte, il ne commet aucune brutalité. Elle n’est pas violée. Depuis le début, elle se laisse faire. A quel moment s’est-elle débattue ? En plein examen de conscience, Liliane doit se l’avouer : elle ne veut pas mourir sans. Sans savoir l’effet que ça fait. Personne n’en saura rien ! Mais d’un autre côté, n’est-ce pas infâme ?

Liliane est perdue dans ses contradictions quand tout à coup, elle sent un doigt s’enfoncer. Un doigt s’enfonce en elle. Un doigt dans le derrière. Ca, elle ne s’y attendait pas ! Le jeune homme la rassure : « Vaseline… Vaseline… » dit-il. Liliane décide de ne pas résister. Ce doigt dans le cul, c’est une surprise qui lui plaît ! Elle s’étonne elle-même. Sous ses airs de fille de bonne famille, n’est-elle pas la plus salope de la pharmacie ? Est-ce Caroline ou Sylvie qui feraient un concours de bites ? Pour finir doigtée la nuit par un inconnu ? Dans les souterrains d’un parking désaffecté ? Avec pour seuls mots intelligibles « Vaseline… Vaseline… » !

Le doigt s’enfouit dans les profondeurs. Il touche la zone obscure de l’inconscient. Liliane se révèle telle qu’en elle-même. Progressivement, une vérité la pénètre : elle en a envie, elle en est persuadée maintenant. Elle veut connaître le goût qui est le plus fort. Sans doute est-ce l’occasion ou jamais… Elle se dégage de l’étreinte d’Afro18 et se place effrontément en position. Penchée en avant, jupe relevée sur les fesses. Sans doute est-ce répugnant, mais tant pis ! Le désir est irrépressible, inéluctable. Ses père et mère seraient là que ça n’empêcherait plus rien ! Elle entend Afro18 qui enfile un préservatif. La première sodomie, ça compte dans la vie d’une fille et c’est imminent. Elle serre les dents. Inénarrable : Afro18 l’encule ! Ca y est ! Mon dieu, quelle secousse dans l’anus !

Liliane n’a même pas retiré sa culotte. Elle fait ça tout habillée, comme dans les quartiers ! Comme dans les caves des HLM, comme dans les parkings désaffectés… N’est-ce pas l’improbable réalité ? Liliane savoure son indignité. Elle la déguste sans réticence, en souplesse. La sensation est monstrueuse, à proportion de cette énormité qui la défonce. Elle n’a pas assez de gros mots pour le dire. Liliane ne sait ce qu’elle goûte le plus : la merveilleuse dilatation de ses viscères ou son incroyable ouverture d’esprit. Diantre, il n’y a pas qu’Hubert ou Charles-André dans la vie ! Putain ! Liliane ressent soudain qu’Afro18 éjacule. Malgré le préservatif, elle se sent pleine de sperme. Une plénitude humide et chaude qui lui baigne le ventre. Afro18 râle comme mille morts. Quelques instants plus tard, elle le découvre la capote à la main. Le réservoir déborde de foutre.

Le couple franchit la palissade en sens inverse. Ni vus ni connus ! Liliane est vidée. Elle se déleste d’un billet de banque dans la vareuse d’Afro18. « Encore bravo ! » souffle-telle. Puis elle le quitte rapidement, pour prendre au plus vite le bus. Elle redoute surtout qu’on la remarque. Elle se fait discrète. Le monde est petit et les cancans vont bon train. Ce que colportent les gens est parfois ahurissant ! Mais personne ne remarque rien, même pas sa légère claudication quand elle marche. A vingt-trois ans, les tissus sont élastiques. Liliane réintègre la pharmacie dès le lendemain, sans rien qui paraît. Elle est rose et pimpante, comme à l’accoutumée. La clientèle apprécie ses manières distinguées. Face à la pornographie et à la dégradation des mœurs, la bourgeoisie demeure le dernier bastion de la bonne éducation.

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ICRA

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