nov 302012

Le déjeuner fut excellent. Nous nous regardions dans les yeux, oublieux du reste du monde. Un couple élégant d’une quarantaine d’années déjeunait lui aussi à deux tables de nous. Je les observais du coin de l’oeil. Ils jetaient de fréquents regards vers notre table et chuchotaient en riant. Ils avaient l’air sympathiques. D’un coup, une bouteille de vin apparut sur notre table. La serveuse nous dit : « Ces messieurs dames de la table à côté ». Nous remplîmes nos verres et nous tournâmes vers eux pour les saluer. « Vous êtes français ? » « Oui, mais venez donc à notre table et merci pour le vin ». Elle s’appelait Danièle, était petite rousse et pulpeuse. Lui, Georges, les cheveux déjà légèrement argentés, d’allure sportive. Nous bûmes la bouteille puis une autre, puis des cafés. Ils logeaient à l’hôtel de la plage depuis quelques jours. Georges nous avoua que depuis le balcon de leur chambre, il nous avait vu dans l’eau avec ses jumelles, tout là-bas à la fin des bouées. Ce qu’il avait vu lui avait bien plu (rires). Je regardai Franceska qui rosit. Nous étions les derniers. Plus de client dans la taverne. « On fait quoi ? » Demanda Georges. « Venez boire un verre dans notre chambre. Il y a une si belle vue du balcon ». Clin d’œil ? Je consultai ma femme du regard. Un battement de paupière. C’était oui. La vue de la terrasse était vraiment belle. Rien que la mer et dans le lointain cotonneux, l’île d’Aegina.

La chambre était vaste, occupée par un lit géant. Georges saisit le téléphone intérieur et commanda une bouteille de champagne. Il avait un Ipod qu’il branchât sur la télé. Il avait bon goût en matière de musique. Le jour tombait lentement, mais il n’alluma pas la lumière. La pénombre se fit plus épaisse.
Danièle disparut un long moment dans la salle de bain. Elle revint enfin vêtue d’un déshabillé élégant, vaporeux, vaguement transparent. Elle s’allongea sur le lit, une jambe repliée sous elle. Georges alluma la lampe de chevet. Une douce lumière chaude et tamisée envahit la chambre.
A part un pouf et une chaise, pas d’autres endroits pour s’asseoir. Franceska était assise sur le bord du lit, j’étais sur le pouf.
Georges, le verre à la main, s’allongea à moitié sur le lit. Il avait enlevé ses chaussures. La conversation avait légèrement dérapé, plus que légèrement. Nous parlions maintenant de libération sexuelle. Enfin, Georges en parlait avec une certaine véhémence. Franceska me regardait, un léger sourire sur les lèvres.
Je vis que la main de Georges se posait d’abord sur les genoux de Danièle puis remonte lentement vers le haut de sa cuisse à demi dénudée. Danièle nous observait, les yeux mi-clos, les deux mains sur ses seins qu’elle semblait caresser.
L’atmosphère se chargea lentement d’électricité. La tension érotique se fit palpable au fur et à mesure du temps écoulé et de la conversation de plus en plus chaude.
La cuisse de Danièle était maintenant nue jusqu’à l’aine et quelques poils roux et bouclés dépassaient la bordure de son déshabillé. Sa main droite avait disparu à l’intérieur du vêtement et il était visible qu’elle se massait le sein et en pinçait le bout.
Je vis le regard de Franceska se river sur ce spectacle. Elle passa plusieurs fois la langue sur ses lèvres sèches. Je vins m’asseoir à son côté sur le lit.
Georges saisit de ses doigts le bord du déshabillé et l’écarta entièrement dévoilant ainsi la nudité de Danièle qui écarta les jambes. Sa vulve nichée dans sa toison rousse nous apparut. Fascinés par cette image nous n’avions pas remarqué que Georges, profitant de notre émotion, avait débouclé sa ceinture et descendu la fermeture éclair de son pantalon de toile exposant ainsi son slip d’où débordait le bout enflammé de son gland.
Je posai ma main sur le genoux de ma femme et le senti trembler sous mes doigts.
Georges était maintenant positionné, à genoux, à la tête du lit. Sa verge dénudée frôlait la bouche de Danièle, une belle verge au gland violacé en forme de champignon. Danièle ouvrit la bouche et, très lentement la queue bandée s’y introduisit jusqu’à la racine. Des doigts de sa main droite, Danièle écarta les grandes lèvres sur l’univers nacré et rose de son con. C’en fut trop pour moi. Je me dressai et, en deux secondes, ma verge douloureuse et raide fut dehors. Franceska, les yeux fixés sur le spectacle, se laissa déshabiller entièrement. Sa respiration était rapide. Elle se mit à ramper sur le lit et bientôt son visage se trouva joue à joue avec Danièle, à quelques centimètres de la queue qui allait et venait dans sa bouche. Elle ne résista pas longtemps, sa main se saisit du membre et l’engouffra entre ses lèvres. Ma femme était couchée sur le côté contre Danièle sur le dos, les jambes écartées. Je me penchais d’abord sur la vulve grande ouverte de Danièle et me mis à la sucer. Dans le même temps, je plongeai deux doigts dans le vagin trempé de Franceska qui continuait à pomper la queue de Georges en alternance avec Danièle. Franceska souleva une cuisse m’invitant ainsi à la pénétrer ce que je fis, à genoux entre ses cuisses. Je vis la main de ma femme remplacer ma bouche sur le clitoris de Danièle, se mettre à le caresser, à le masser. Puis elle enfonça deux doigts en crochet dans le vagin béant, puis un troisième. Elle se mit à les faire aller et venir rapidement. Je pouvais entendre le bruit mouillé que cela produisait. Franceska faisait maintenant des mouvements de rotation, poussant lentement, cherchant à aller encore plus loin Danièle se tordait de plaisir, elle n’allait pas tarder à exploser… Mais non, car Franceska retira sa main lentement, sa main trempée qu’elle tendit à ma bouche pour que je les nettoie, ce que je fis avec avidité.

C’est alors que Georges intervint. Il fit mettre Danièle à quatre pattes, en 69 avec Franceska, et lui lécha longuement l’anus. Danièle avait la tête entre les cuisses de ma femme. Elle regardait ma queue allait et venir lentement dans son vagin. De ses deux mains, elle écarta les grandes lèvres pour exposer totalement le clitoris. Elle poussa un long râle quand elle senti la queue de Georges pénétrer son anus puis elle se pencha et posa sa bouche sur le clitoris durci. J’imaginais ma femme caressant les testicules de Georges et alternativement caressant le clitoris de Danièle, introduisant de nouveau ses doigts dans le vagin brûlant, sentant la queue de Georges à travers la fine membrane du périnée.

Ah, que le spectacle de nous quatre était excitant à voir! Je sortais parfois ma verge et la plongeais, humide, vernissée, dans la bouche de Danièle. Enfin, je me penchais, et réunissant le maximum de salive la déposais sur l’anus de ma femme. Je soulevais son bassin et disposais un coussin sous ses reins puis je pris ses jambes et les levai bien écartées. Je vis le visage de Danièle envahir la vulve qu’elle se mit à laper. Ma queue pénétra lentement l’anus. Je restai un long moment immobile au fond de ce rectum dont je sentais les contractions spasmodiques.
Brusquement je vis frémir les épaules de Danièle. Tout son corps se mit à trembler. Un son étouffé sorti de sa bouche toujours collée à la vulve de Franceska
Dans le même temps, je vis un long jet de sperme atterrir sur son dos, puis un deuxième. Cela porta mon excitation au paroxysme. Je fis quelque aller-retours rapides et éjaculai. Mon sperme s’écoula sur la vulve de ma femme et Danièle s’empressa de le lécher. Restait Franceska qui s’était emparée de la verge de Georges, libéré, encore dure, et la tétait gloutonnement Nous la caressâmes tous les trois jusqu’à ce qu’enfin, elle aussi soit submergée par un long orgasme…

nov 252011

Un vendredi soir, 19 h 30. Ma copine a décidé d’inviter quelques amis. Dès mon arrivée à la maison, j’ai senti que l’ambiance était différente qu’à l’habitude. Ma copine dit que les invités arrivent sous peu et elle est en tenue très légère, pour ne pas dire, affriolante. Étant un couple ouvert, je ne m’inquiète pas de cette tenue, je m’en réjouis. Je cours prendre une douche avant le début de la soirée. Un à un, les invités arrivent, pendant que je m’active pour me rhabiller.

Nous étions, au total, quatre couples autour d’un repas bien arrosé. Le vin coulait à flot et les regards commençaient à être éloquents. Après cet excitant repas, nous sommes passés au salon, où ma copine s’est affairée à donner à boire à nos invités. J’allume le système de son, musique d’ambiance et je tamise les lumières. En me retournant, la soirée prit une tournure plus corsée. On aurait dit que tout le monde attendait ce moment.

Il ne fallut que quelques instants pour que les caresses commencent. Au début, les couples restaient entre eux, mais l’alcool suffit à les deshiniber. Les femmes furent plus rapides que les hommes. Ceux-ci les regardaient s’embrasser goulûment, n’ayant d’yeux que pour elles. Moi y compris. Je sentais déjà l’excitation me gagner. Ma femme lèvres contre lèvres avec son amie! Elles n’étaient plus du tout gênées et leur aisance suffit à encourager les autres. Les mains étaient plus baladeuses sur des corps inconnus. Que de nouvelles sensations !

Les couples se séparaient ou entraînaient d’autres personnes avec eux. Une douce odeur de sexe embaumait l’air. Voir nos amis ainsi offerts à nos yeux était un spectacle d’une incroyable intensité. Nous avions soif des autres et c’était palpable. Partout où je regardais, je voyais des seins et des chattes se faire déguster avec appétit. Les femmes ne regardaient même pas à qui appartenait la queue qu’elle suçait. Nous n’entendions que les gémissements que tous poussaient. Voir ma copine prendre trois hommes à la fois, une dans la chatte, une dans l’anus et l’autre dans la bouche, fut d’une excitation indescriptible. Sa meilleure amie, à mes genoux, suçait mon membre avec délectation.

Je la relève, la tourne et la penche. Elle cambre ses hanches et frotte sa chatte déjà toute mouillée sur ma queue durcie. D’un grand coup, je la prends par-derrière, sentant ses frissons la parcourir. Je jette un coup d’oeil à ma copine qui me regarde, d’un air diaboliquement affamé. Je redouble d’ardeur en voyant le sourire de ma femme. Son amie criait sous l’assaut de ma verge qui cognait contre le fond de sa chatte dégoulinante. Une deuxième femme s’approche de ma partenaire et lui lèche les seins. Je sentais plusieurs mains sur moi, mais je ne voyais qu’elle.

Je me retire, me retourne. J’empoigne la première que je vois et la mets à genoux. « Ouvre la bouche… » Je lui ordonne ensuite de me prendre au complet, jusqu’au fond. Elle lèche ma queue, je la gifle. « OUVRE, SALOPE! » Elle n’a pas le choix, elle l’ouvre et enfonce ma verge dans sa bouche. La bave coule sur son menton, hummmmmm, puis, sur ses seins ballotants. Je la plaque au sol, lui relève les jambes. En mordant ses jambes, je lui donne la volée qu’elle mérite. Elle frémissait en se malaxant les seins, sous les yeux assoiffés de ma copine qui se fait prendre maintenant par un homme et une femme.

Un homme se joint à nous. Pendant que je fourre cette chatte humide et chaude, il lui remplit la bouche et le visage, jouissant à grands cris. Elle se délecte de ce nectar sucré. Puis, juste avant de venir, je me retire. Je la laisse à son nouveau partenaire et pars rejoindre ma copine. Deux femmes nous rejoignent. Ma copine s’installe par-dessus l’une d’elles et me fait signe de la prendre par derrière. Je ne me suis pas fait prier! J’enculais ma copine pendant qu’elle mangeait une chatte mouillée. Je sentais la langue de l’autre passer de la chatte à ma queue. Une sensation intense et jouissive.

Après une série d’orgasmes effrénés, ma copine propose de jouer à un jeu. La queue musicale… Tous les hommes s’asseyent et les femmes doivent s’asseoir sur l’un d’eux. La dernière, celle qui ne trouve aucune chaise doit s’offrir en spectacle solitaire pour nous tous. Couchée au centre de la pièce, elle se masturbera tout le long du jeu. On commence! Musique! Quatre femmes nues défilent autour des trois hommes, tous insatiablement bandés. Moi, je ne perdais aucune seconde de ce spectacle enivrant avec ma caméra dans la main et ma queue dans l’autre.

La musique arrête. Les femmes prennent place sur leur objet sexuel et c’est une belle rousse qui doit entrer au centre. Elle se couche, je m’approche pour avoir un gros plan de sa délicieuse chatte fraîchement rasée. Elle se touche le clitoris qui gonfle sous ses caresses. Elle gémit. Je filme les autres qui s’activent sur ses queues bien dressées en augmentant la vitesse de ma propre excitation. Et à l’apothéose de ce jeu, tout le monde se mit à jouir. Nous avions atteint l’extase. Je pose ma caméra sur son pied, relève la rousse au centre et la prend en levrette jusqu’à ce que je ne puisse retenir ma semence qui explose au plus profond d’une autre chatte bien sensible.

La soirée se termina sur un ton joyeux et nous nous donnons rendez-vous deux semaines plus tard. Ça promet…

nov 222011

une longue, très longue, attente sur le parking de Vincennes…

une voiture stoppe, un couple sort, je m’approche un peu

monsieur baisse la jupe de madame, je m’approche très près

monsieur dirige madame vers ma braguette, je baisse tomber slip et pantalon

madame me prend en bouche… arrive bientôt une autre voiture. J’enfile un préservatif et je laisse le mec apprécier les talents de madame. Je jette un coup d’oeil à monsieur pour avoir son accord. Il regarde mon sexe encapuchonné et fais un signe de la tête pour dire vas-y. Sans un mot, je rentre dans le minou offert par monsieur. Madame gémit un peu. Le mec en face sourit, complice. Je sens bientôt que Monsieur s’impatiente. Il a baissé son falzar et s’astique le membre. Au moment où je jouis, madame gémit à nouveau. Elle a senti ma bite grossir avant que ma semence s’en échappe. Je ne saurais jamais ce qu’elle aime : les grosses bites ou le sperme. Je me retire. Monsieur regarde le contenu de la capote, une main sur la chatte de sa femme comme pour s’assurer qu’elle est encore là. Puis il s’installe à son tour dans sa chatte pendant qu’elle continue à sucer le mec. Je sors l’appareil photo, et toujours sans un mot je sollicite l’autorisation d’immortaliser l’instant. La seule phrase que j’entendrais c’est un : « Ok mais sans visage »

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ICRA

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