mai 312014

La sieste s’impose, je m’allonge et Annie vient poser sa tête sur mon torse. Elle n’a que sa jupe sur elle. Elle a ouvert la braguette de mon short, ma bite est à moitié sortie, elle me branle doucement, je lui caresse les seins.

Nous savourons la chaleur, je sens que je ne vais pas tarder à lui faire l’amour… Mais c’est sans compter sur les imprévus !

Car, quand notre gus a pris son vélo tout à l’heure, c’était pour faire le tour et venir de notre côté. Je viens de le voir à 50 m, et sans cannes à pêche… Je ne dis rien à Annie

Tout doucement, mètre par mètre, il avance vers nous, et il s’enhardit car je ne fais aucun signe pour l’arrêter. Ma chérie somnole et ne peut le voir, mais lui peut tout voir. Il n’est plus qu’à 5 m, les yeux lui sortent de la tête. Il me regarde interrogatif. Je ne dis toujours rien, alors il se décide à sortir sa queue. Il bande, une prune violette qui suinte de plaisir. Il manipule doucement son cylindre d’une bonne taille

À quatre pattes, sans un bruit, il finit de s’approcher, pose une main sur la cheville de la belle endormie qui pousse un cri car elle comprend que ce n’est pas une des miennes…

- Ce n’est rien chérie, reste comme çà.

L’homme remonte centimètre par centimètre le long de la jambe, la bouche suit et embrasse chaque parcelle de peau. Annie se détend peu à peu, vaincue par la douceur, les jambes s’écartent, laissant libre accès au fruit convoité. Je la fais basculer sur le dos et lui tètes les seins pendant que le pécheur pose enfin sa bouche sur l’abricot gorgé se sève.

L’homme lui travaille la chatte et l’anus de sa langue et ses doigts, ma salope finit par lui envoyer une giclée de jouissance dans la bouche dans un cri qui prouve son plaisir.

Il me regarde à nouveau, interrogatif. Je fais mine de ne rien voir. Alors il commence à se désaper sans cesser de lécher le minou d’Annie.

Il s’allonge sur ma chérie, prend appuis sur ses avant-bras et, sans qu’il y mette les mains, je vois le gland disparaître lentement dans le ventre d’Annie, aspiré par sa chatte. Elle le ceinture de ses jambes pour l’attirer plus profondément en elle. Elle est belle quand elle baise ma salope, son bassin vient à la rencontre de celui de son amant de rencontre, le claquement des chairs devient infernal. Il a de la ressource notre brave pécheur ! Je me caresse en les regardant se faire du bien, elle crie tellement que les grenouilles se sont tues !

- Allonges-toi, elle va venir sur toi !

Car moi aussi je veux participer ! Je saisis la verge raidie du gars et la pointe vers le trou à bite de ma chérie qui se laisse descendre pour entrer en contact avec ses couilles. Je profite qu’ils soient encore immobiles pour venir lécher son petit trou palpitant. Je prélève de la mouille directement à la source pour m’enduire le gland et je prends appui sur la bite déjà introduite pour chercher une faille et m’enfoncer, moi aussi, dans ce cratère brûlant. L’homme est surpris par mon intrusion, il n’a jamais dû sentir une queue côtoyer la sienne dans une chatte ! J’avoue que j’adore sentir la raideur d’une autre bite sur la mienne. il finit par se synchroniser avec moi, et nous lui enfonçons alternativement nos queues dans la chatte pleine à craquer, aux cris qu’elle pousse, on pourrait croire que quelqu’un se noie !

Je ne perds pas de temps et en cadence je lui enfonce mon pouce dans son petit cul, elle ronronne de bonheur, une fois son anneau bien assoupli, je sors doucement du paradis où j’étais pour faire pression sur la corolle qui cède doucement. Plus personne ne bouge. Ma femelle attend, dans la crainte d’avoir mal, que je lui prenne son petit cul…

Un petit aie lorsque le gland est absorbé, j’attends qu’elle bouge. Lorsqu’elle l’aura décidé, nous la ramonerons en cadence.

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Tu l’encules ?, me demande l’autre.

Je ne réponds rien et me concentre sur la progression de ma verge jusqu’à ce que mes poils touchent ses fesses, voilà qui est fait, Annie se lance à l’assaut de nos bites

Sa tête repose sur l’épaule du pêcheur et les seins écrasés sur son torse poilu. Son bassin est offert à notre bon vouloir ce n’est plus qu’une machine à baiser. Je prend mon pied a voir le morceau de chair luisant de l’étranger entrer et sortir du corps de ma chérie comme un piston bien huilé, tandis que son petit anneau serre ma bite. C’est une situation que je ne pourrais supporter bien longtemps, et quand je sent sa bite se contracter et devenir plus dure, je sens que je ne vais pas tarder à lâcher la sauce. Sa bite fait maintenant des soubresauts qui me confirment qu’il éjacule. Les cris de jouissance d’Annie en sont une autre preuve. À mon tour, je me laisse aller et lui remplie son boyau étroit de mon foutre chaud.

Je me penche sur son dos et la couvre de tendres baisés, elle ronronne comme une chatte, apaisée. Chacun reprend son souffle, le silence est retombé, les grenouilles recommencent à coasser !

Je serre Annie contre moi, son dos sur mon torse, ses deux seins dans mes mains. Notre ami refait surface et nous dit : « c’était formidable, je n’avais jamais fait cela. Regardez, je n’arrive pas à débander ! comment puis je vous remercier ?

C est vrai que sa verge est encore collée à son ventre ! Annie, qui ne perd pas le nord, l’a bien vu : « – tu tiens vraiment à me remercier ? Alors lèche moi !

Et sur ce, elle se met a quatre pattes, la moule offerte. Sans perdre un instant, il est sur le dos, et glisse sa tête sous la chatte qui goutte de son propre sperme. il fait descendre sur le vagin éclaté sa bouche grande ouverte, il lape comme un chien le nectar qui s’échappe, les poils collés sont lavés eux aussi, son menton est luisant, çà lui coule dans le cou ! Qu’est-ce qu’il lui a mis tout à l’heure ! Il règne une chaude odeur de sperme que j’adore !

Dés qu’il n a plus rien à se mettre sous la langue, il s’extrait et rapidement et se positionne derrière le con offert. Je viens moi-même tenir son nœud pour l’aider à trouver son chemin. Très vite, les fesses de ma chérie claquent à nouveau sur ses cuisses. Glissée par-dessous, ma main caresse le clitoris d’Annie, s’attardant de temps en temps sur la bite du pécheur. À chaque fois qu’il sent mes doigts passés, sa verge gonfle encore un peu plus.

Annie jouie sans discontinuer, il me la ramone encore longtemps le salaud.

« Je vais lui décharger dans le cul ! », s’écrie-t-il d’un coup. Je n ai pas eu le temps de dire non qu’elle a le braquemart planté entre les reins ! Et, dans un beuglement à faire pâlir un taureau, il se vide en elle !

Ce qui m’inquiète, c’est qu’il faut revenir a la maison, et Annie a oublié dans son euphorie qu’on est a vélo ! Il a fallu que je confectionne un coussin pour qu’elle puisse s’assoir sur la selle… Elle m’a affirmé que la pêche c’était finit ! Mais… nous ne sommes pas revenus bredouilles : on a pris un beau maquereau !

jan 272014

sept 272013

août 222013

mar 142013

Match ! Un couple m’a contacté sur mon adresse ([email protected]). Nous devons nous rencontrer demain si tout va bien ! Vanessa est métis Asie-Afrique. Elle est superbe ! La trentaine, fine, voire menue, cheveux long et noir, yeux bridés et peau mat. Stéphane est lui d’origine européenne. Le gaillard a 35 ans apparemment ! Il m’a demandé si ça me gênait le fait qu’il soit bi… « Pas du tout ! », ai-je répondu ! Ils s’occuperont tous les deux de moi… Et Vanessa n’a rien contre les doubles pénétrations ! Que dire de plus… Ah oui, il cherche un partenaire régulier. Donc si ça passe bien, je serais peut être appelé à les revoir. Mais n’anticipons pas trop ! Je vais quand même mettre les petits plats dans les grands. Champagne et petits fours bien entendu ! J’ai aussi prévu des petits cadeaux. Un parfum pour elle et un cockring pour lui… je vous raconterais tout cela !

mar 092013

Tout est dans le titre mais je vais tout de même repréciser. Je cherche un couple, âge et physique indifférent, pourvu qu’il soit sympa sans prise de tête. L’idée, c’est de passer un moment sympa avec madame et monsieur pour un trio magique comme je les aime…

si vous êtes à Paris ou passez en région parisienne, n’hésitez pas à m’envoyer un mail à [email protected]

je peux également me déplacer !

bises coquines

Manu

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nov 152012

Je prends souvent le train… Et comme je suis friand de découverte , Je m’aventure a chaque escale dans les lieux chauds de France. Ce récit m’est arrivé lors d’un après-midi a Bordeaux . J’avais à peu près 3 h devant moi, je me rend dans un sauna mixte naturiste. Cela s’est passé un dimanche et le club est très fréquenté . Comme a l’accoutumée, je prends d’abord le temps de me détendre :sauna , jaccuzi et petit café au bar. Je m’aventure ensuite aux coins calins, à l’étage. Peu de femmes et beaucoup d’hommes, mais un charmant couple s’approche de moi . Elle a l’air d’avoir dans les 47-49 ans, les cheveux courts, des petites lunettes, petite avec de charmantes petites rondeurs et une très belle paire de seins que je devine sous son paréo , un 95D au moins. Lui a l’air d’être plus âgé, avec une petite calvitie, le reste de ses cheveux couleur poivre et sel . Il est un peu plus grand , mais a une tête sympathique. Il s’adresse a moi et a le mérite d’être direct : » Bonjour , ça te dirait qu’on le fasse tout les 3 ? » Pas effrayé pour 2 sous , je lui répond que ce sera avec plaisir , allons dans une des chambres tranquillement. Nous avons pris la seule de libre , une grande pièce avec suffisamment de matelas par terre pour une partie a 12… Il me demande : « À tout hasard , tu serais un peu bi ? » . Je lui répondis amusé, que si il veut me sucer, ce sera sans problème . Il se mit a genoux devant et commence a me pomper avec passion . Sa femme s’approche de moi et commence a me rouler des pelles en lui caressant la tête. Tout en la ramenant vers moi, je passe mon bras gauche dans ses hanches, je caresse avec elle la tête de son mari pour l’encourager, puis j’arrête l’embrassade pour commencer à lui lécher les seins. Ils sont délicieux et j’y aurais bien passé plus de temps dessus, mais Mr s’arrête et me dit : « Allonge toi, on va te sucer tous les 2. Je m’exécute gentiment et là c’est l’extase : on voit qu’ils ne sont pas a leur coup d’essai ! Ils sont parfaitement organisés, l’une me pompe pendant que l’autre me lèche délicatement les boules , puis les 2 jouent de leurs langues le long de ma verge. Madame se permet de commenter : » C’est génial , il bande bien fort ! » , ce que son mari approuve en me pompant plus ardemment . Ils s’arrêtent tous les 2 , et monsieur me dit » je vais te mettre un préservatif et tu vas la baiser » . Je me relève et madame se met a genoux devant moi , le temps qu’il aille chercher un préservatif qu’il avait posé sur le côté en rentrant. Pendant ce cours instant, madame m’a gratifié d’une belle branlette espagnole. Ses seins qui faisaient des va-et-vient enserrant ma bite, il n’y a pas de mots pour décrire cette sensation , où alors peut-être juste » haaaaaaaaa….. ». Monsieur arrive et m’enfile la capote, pendant ce temps, sa dame se couche sur le dos. La capuche mise , la voila qui relève les cuisses prête a être pénétrée. Je me couche sur elle , en m’appuyant sur mes bras, pour ne pas l’écraser, et je la pistonne avec toute la fougue et la force possible. Je lis le plaisir sur son visage, elle se mord les lèvres et gémit de plus en plus fort, jusqu’à pousser des râles de plaisir en même temps que je la « défonce » , je met ma tête dans ses seins , les léchant de longs en large …. et Monsieur me direz-vous ? A genoux a côté de nous en train de se branler de sa main droite, sa main gauche passant tendrement sur mon dos et mes fesses ce qui n’est pas pour me déplaire. Dans ses râles, elle me demande de la prendre en levrette. Pas contrariant, je me retire , et elle se place a 4 pattes , et je continu le pistonnage. Il accélère le mouvement et se place, la bite devant la bouche sa femme et un cri de plaisir m’indique qu’il se vide dans sa bouche . Elle la garde quelque instant en bouche, et la bite ressort bien nettoyée. De mon côté je ne vais pas tarder a jouir. Je redouble d’efforts, et la pistonne violemment, pour gicler à grandes saccades, dans un râle de mon plaisir. Nous avons pris ensuite un dernier café au bar, avant de nous quitter, de beaux souvenirs en tête…

sept 252012

Ma femme n’aime pas que je m’attarde. Huguette craint que je fréquente une autre femme. Je ne sais pas pourquoi : je lui suis fidèle depuis toujours. Il paraît que la jalousie ne se commande pas. L’été dernier nous sommes partis en vacances en Tunisie. C’est moi qui commençais à en avoir, des craintes. Au restaurant en bord de mer, un garçon la trentaine faisait du plat à ma femme. Le soir même, je le lui en parlais et, à ma grande surprise, elle me disait que ça lui faisait plaisir d’être courtisée.

Les jours suivants, la cour que lui faisait ce garçon était de plus en plus pressante. Le soir nous faisions l’amour avec une vigueur inhabituelle et avec une satisfaction qui me semblait plus forte que d’habitude. Le lendemain, même manège, le garçon lui débitait des fadaises qui devaient l’exciter, puisque, la nuit, elle me faisait l’amour avec de plus en plus de rage. Je n’y tenais plus et une idée me traversait l’esprit : et si nous l’invitions un soir à venir dans notre chambre, est-ce qu’elle serait d’accord pour baiser à trois ? Elle m’a regardé étonnée par ma proposition pour enfin me répondre que si je le désirais elle l’inviterait. Mais elle ne me garantissait rien !

Le soir suivant, elle interrompait les bavardages de ce garçon pour lui proposer devant moi de venir “tirer un coup” avec nous. Elle n’avait pas ce langage normalement. Après un moment d’hésitation, le garçon lui répondait qu’il ferait ce qu’elle voulait. Enfin il se présentait : Pierre, cadre commercial.

Dans notre chambre, le lit était assez vaste pour contenir 4 personnes. Sans perdre de temps, Huguette se déshabillait et, nue, venait m’embrasser profondément. Ensuite elle allait vers Pierre pour l’embrasser de la même manière. Je la voyais se frotter contre lui d’une façon très érotique : elle cherchait à le faire bander.

Pour ma part je bandais déjà de la voir entre les bras d’un autre. Je me déshabillais aussi et m’approchais de ma femme en espérant qu’elle me branlerait un peu. Je passais derrière elle et lui mettais la main sur les fesses : elle se laissait faire et savait que je n’allais pas m’arrêter là. Je lui mettais deux doigts plus bas pour arriver à son cul. Je le lui branlais quand je sentais une autre main venir sur la moule de ma femme. Elle avait écarté ses jambes et se trouvait avec deux mains qui s’occupaient de ses principales sources de jouissance. Elle jouissait relativement vite. Elle était toujours dans les bras de Pierre et donc me tournait le dos : je passais une main devant et lui caressais les seins: elle aimait que je lui pince légèrement les tétons.

Enfin elle se couchait et demandait à Pierre de venir sur elle et la baiser. Je voyais ses jambes écartées et son con presque entièrement ouvert. Pierre venait sur elle et il la pénétrait lentement, justement comme elle aimait pour débuter. Elle lui posait les jambes autour de ses hanches et suivait la cadence. C’était la première fois que je la voyais faire ça.

J’enviais Pierre quand Huguette jouissait. Après ce premier orgasme, elle se tournait et lui demandait de l’enculer. Je ne pouvais plus tenir tellement je bandais aussi je passais sous elle et lui mettais ma langue dans son con pour la sucer. Elle me prenait la queue dans sa bouche et me suçait au moins aussi bien. À ce moment je voyais clairement la bite de Pierre dans le cul d’Huguette. C’était plus qu’excitant. Soudain Huguette poussait un cri:

- je joujiiiiiiiiis.

Pierre jouissait aussi. Il n’y avait que moi à n’avoir pas joui.

Huguette demandait à Pierre de me branler. Après un moment d’hésitation, il prenait ma bite en main et se mettait en devoir de me donner du plaisir. Sans doute était-il excité de me branler car sa bite reprenait vie. Il bandait à nouveau. À mon grand étonnement, Huguette, qui se dévergondait décidément très vite, me demandait non pas de branler Pierre, mais de le sucer. Je n’avais jamais de ma vie pris une bite dans la bouche et je refusais tout net. Huguette insistait : je devais m’exécuter. Pierre me branlait toujours et ma femme voulait que je le suce et devant elle en plus. Pierre, de son côté, n’était pas contre et se tournait pour me mettre sa queue dans la bouche. J’étais gêné et ne savais trop comment faire. Huguette me donnait des instructions.

J’écoutais et prenais finalement la bite de Pierre dans ma bouche. Je léchais de bas en haut la tige avant de prendre entre mes lèvres la bite offerte. Pierre me branlait toujours: j’en tirais un drôle de plaisir. Enfin j’ai eu la surprise de sentir le sperme de Pierre qui se lançait dans ma bouche. Je me levais pour aller le cracher : Huguette m’arrêtait et me demandait de lui mettre dans sa bouche. Elle avalait à ma place le sperme de Pierre.

Pendant ce temps, elle se branlait sans arrêt. Elle devenait totalement déchaînée. À mon tour de la baiser : elle se mettait encore en levrette et je lui mettais ma bite au con. Excitée comme elle était, elle jouissait vite. Je sentais ce que j’aimais en elle à ces moments-là : ses crispations autour de ma bite. Et puis je sentais que Pierre venait à son tour. Je pensais qu’il allait demander à faire une double pénétration.

Ce n’était pas du tout ça. Il crachait sur mon cul et lentement m’enculait. Je n’ai eu mal qu’au tout début, ensuite, je sentais un autre plaisir m’envahir. Nos mouvements étaient synchronisés: je rentrais dans ma femme et lui sortait de mon cul et quand il y rentrait, je sortais du con de ma femme. Finalement nous avons joui presque ensemble. La nuit de débauche était finie. Huguette avait eu son comptant de baise. Pierre parti, Huguette avouait qu’elle avait pris beaucoup de plaisir. Et me proposait de recommencer au retour des vacances.

mar 292012

L’an dernier, j’étais en mission à Tokyo. La culture japonaise est très différente de la culture occidentale, en particulier, il est de coutume dans ce pays de passer de longues heures entre collègues de bureau après le trava
La plupart du temps la soirée entre collègues s’eternise jusqu’à 23 heures dans un restaurant. Alors que les femmes mariées ne travaillent pas et restent à la maison à s’occuper des enfants.
En revanche, depuis quelques années les femmes celibataires travaillent et font donc parties de ces soirées qui se passent en général en “tout bien tout honneur”, chacun regagnant son logis après cette soirée restau.
Je me pliai donc à ces coutumes, et tous passais toutes mes soirées au restaurant avec mes collègues de travail, trois hommes dont mon contact habituel dans cette société de logiciels de jeux videos. Habituellement touts les soirs ses assistantes Kenori et Kumiko l’accompagnaient toujours; mais nos contacts ont toujours été réduits car aucune d’entre elles ne parle français ou anglais, alors que je ne connais que 2 ou 3 mots de japonais.
Je jugeais d’ailleurs celà dommage car bien que peu sensible aux charmes asiatiques en général, j’ai toujours eu beaucoup de plaisir à regarder, pour ne pas dire contempler ces deux très jolies femmes. Kumiko, plutot grande (1m85), fine, long cheveux bruns, alors que Kenori est plus petite (environ 1m65), mais avec des formes plus généreuses et des cheveux courts.

Tous les soirs, après le repas, l’un des hommes m’accompagnait à mon hôtel, nous nous saluions devant celui-ci avec les courbettes habituelles, et la soirée prenait fin.
Vendredi dernier était le dernier soir de ma mission, je devais donc reprendre l’avion pour l’Europe samedi matin à 11h30.

Contrairement aux autres soirs, vendredi soir, c’est Kenori et Kumiko qui m’accompagnèrent.
Arrivé devant l’hôtel, je les salue en m’inclinant bien bas. Mais à ma grande surprise aucune ne fait mine de partir. Une gène s’installe, ai-je oublié quelque chose pour cette dernière soirée ?
Impossible de demander, elle ne comprennent pas…
Je recommence mes salutations, elles s’inclinent également avec un grand sourire… Je ne sais toujours pas ce que je dois faire…
Alors Kenori, d’un geste de la main me fait comprendre que je dois rentrer dans l’hôtel.
Sans demander mon reste, j’avance, et me dirige d’un bon pas vers l’ascenseur qui doit me mener à ma chambre au 38ème étage…
Tout absorbé dans mes pensées quand à l’organisation de mon départ, je n’entends pas ce qui se passe autour de moi, mais pendant que j’attends l’ascenseur, Kenori et Kumiko me rejoignent.
Je suis scotché de surprise, voyant cela, les deux femmes éclatent de rire en se regardant d’un oeil coquin.
L’ascenseur arrive, je ne sais quoi faire…Voyant mon hésitation et ma surprise, Kenori me montre encore que je dois entrer dans l’ascenseur. Ce que je fais, mais là encore surprise, les deux femmes m’emboitent le pas, et Kumiko appuie sur le bouton du 38ème avant que je n’ai le temps de faire quoi que ce soit.

Les choses deviennent plus claires…
Je suis à la fois surpris, inquiet et excité de savoir ce qui m’attend réellement ce soir.
Dès l’arrivée au 38ème, je me dirige vers ma chambre, toujours escorté par mes deux japonaises qui suivent à 2 mètres derrière moi, comme le font toutes les femmes dans ce pays.
J’introduis la carte magnétique dans la serrure, j’ouvre ma porte et commence à me retourner pour saluer au cas où … Je ne voudrais pas faire d’impair en cas de mauvaise interprétation, mais Kenori, un grand sourire aux lèvres me fait comprendre que je dois entrer dans ma chambre. Dès que je franchis le seuil, les deux jolies japonaises me suivent, et Kumiko, ferme la porte qu’elle verrouille avec le système de sécurité.

A peine ai-je déposé ma sacoche sur le bureau que les deux femmes s’approchent de moi, et commencent à me déshabiller. Kumiko, déboutonne ma chemise avec ses doigts agiles tandis que Kenori, à genou devant moi, s’attaque à ma ceinture et à ma braguette.

Cette situation n’est pas pour me déplaire, je me laisse faire, et mon sexe commence à durcir, ce que ne manquent pas de remarquer les deux femmes. A la vue mon sexe, que je crois être tout à fait dans la moyenne (française en tous cas) , Kenori s’esclaffe, appelle son amie pour lui faire voir, et toutes les deux engagent une conversation animée qui a l’air de beaucoup les amuser…
Je suis très rapidement totalement nu, et Kenori me prenant par la main m’entraine vers la salle de bain, elle m’indique que je dois passer sous la douche… Je m’exécute, mais avant que je ne tire le rideau, je suis rejoins par Kumiko, qui en un clin d’œil, pendant que Kenori m’amenait à la douche a fait tomber son tailleur noir très strict, a retiré ses sous-vêtements (je n’imagine même pas qu’une japonaise puisse ne pas en avoir…), elle est avec moi nue, splendide, et rentre avec moi sous la douche.

Avant que je n’ai le temps de faire quoi que ce soit, elle règle la température de l’eau, commence à me mouiller, puis à me savonner. Nous sommes rapidement rejoins par Kenori, et les deux femmes me savonnent, leurs 4 mains, ou plutôt leurs 20 doigts s’aventurent sur tout mon corps, le savonnent avec douceur et délectation, c’est un vrai bonheur… Elles n’oublient aucun recoin, mon intimité la plus secrète est ainsi flattée avec délicatesse et sensualité, je me laisse faire sans oser bouger tellement c’est bon, et pourtant j’ai deux paires de seins divines qui me tendent la pointe des tetons, deux petites chattes bien épilées qui ne demandent que des caresses, mais ce qu’elles me font est si doux si agréable, que pas un instant je ne pense rompre ce charme.

En même temps qu’elles me nettoient, elles se savonnent et se caressent également mutuellement, c’est super excitant, mon sexe que je croyait au taquet se durcit encore plus..
Après de très longues minutes, mais qui me parurent malgré tout trop courtes, elles arrêtèrent le flux de la douche, et Kenori sortie de la douche a commencé à me sècher, toujours avec douceur et délicatesse, puis elle m’enfila le Kimono accroché à la patère, et me fis signe d’aller l’attendre sur le lit.
Après quelques instants, toutes les deux en kimono également me rejoignent, Kumiko s’agenouille au bord du lit, pendant que Kenori va mettre la théière en marche.
Kumiko, retire son kimono, puis s’approchant de moi, elle défait la ceinture de mon kimono, l’ouvre, et je comprends rapidement que je dois le retirer également.

Je me lève pour le retirer, elle est toujours à genou devant moi, mon sexe à nouveau bandé, en honneur à sa beauté est à quelques centimètres de son visage, je m’attends à ce qu’elle le prenne en bouche d’un instant à l’autre, mais la coquine me fait languir… Ou bien le sexe japonais se pratique un peu différemment ?
Après quelques secondes, elle se relève, et d’un geste amusé de ses deux mains sur mes épaules, me pousse vers le lit. J’y retombe allongé sur le dos… A peine installé, mes deux superbes nymphes s’approchent de moi, l’une vers mon torse, l’autre vers mes jambes, et elles entreprennent une séance de massage comme je n’en ai jamais vécu de ma vie avec aucune femme…
Kumiko commence à me masser les pieds, puis les jambes, pendant que Kenori s’attaque à mes épaules, mon torse, etc…
Ces massages, ou plutôt ces caresses sont absolument divins, elles commencent avec les bouts des doigts, puis les mains, et enfin terminent à chaque fois avec leur petite langue douce et agile.

Aucun coin de mon corps n’est oublié, je découvre sous leurs caresses des nouvelles zones érogènes qu’aucune femme avant elle ne m’avait révélées, je m’abandonne totalement à leurs caresses en espérant que ce moment ne prenne jamais fin, j’ai l’impression d’être enfin au paradis, ces 20 doigts qui se promènent avec douceur et agilité sur mon corps me mettent dans une transe que je n’ai jamais connue, je n’ai pas de désir sexuel, et pourtant j’ai l’impression que mon corps entier est une grosse queue bandée frémissante et attendant le moindre effleurement…

Au bip de la théière, ce moment de Nirvana s’interrompt quelques instants, Kumiko, à genou au pied du lit sert le thé, me tend une tasse, nous buvons tous les trois un délicieux thé vert , je me sens plus en forme que jamais, prêt à déplacer des montagnes.
Cet intermède terminé, nous reprenons nos activités où nous les avions laissées, mais cette fois les caresses de mes partenaires sont plus sexuelles et plus explicites…
Kenori prends mon sexe durci dans sa bouche, pendant que Kumiko vient m’offrir un baiser délicat et délicieux, le mouvement de Kenori est exquis, jamais aucune femme ne m’avait fait une fellation aussi douce, aussi délicate, aussi divine, aussi délicieuse…
Kumiko entrepris aussi de me lécher le torse en excitant mes tetons
Combien de temps cela dura-t-il ? 1minute ou 1 heure ? Je n’en sais rien, ce genre de moment dure une éternité, mais il est toujours trop court…

Il se termina d’une bien curieuse manière pour l’occidental que je suis.

Elles s’arrêtèrent brutalement de me caresser, puis toutes les deux se mirent cote à cote, à quatre pattes au bord du lit…Offertes en levrettes…

Grace à leurs mouvements de tête et à la charmante ondulation de leurs croupes, je compris rapidement de quelle offrande il s’agissait, je me lève, passe derrière elles, 2 vulves, 2 anus, 4 superbes orifices offerts et bien ouverts pour moi tout seul…
Je ne savait par lequel commencer, les 4 étaient aussi tentants… Les chattes étaient bien mouillées, l’une d’elle dégoulinant déjà d’un jus intime que je m’empressais d’aller savourer.
Je caressais chacune d’elle d’une main, prenant bien soin d’aller titiller le petit bouton fleuri de chacune de mes partenaires. Leurs gloussements et leurs gémissements m’indiquaient qu’elles appréciaient les caresses prodiguées, mais elles me firent rapidement comprendre que ce n’était pas ce qu’elles souhaitaient…

Kumiko pris mon sexe, et d’un geste sans équivoque, l’approcha de son entre jambe… Je m’exécutais donc, la pénétrait sans ménagement et commençais des mouvements de va et vient de plus en plus fort. Assez rapidement, elle portât la main vers mon sexe, me demanda de le ressortir, je ne comprenais pas, mais elle m’indiqua son anus ! Mon sexe étant bien lubrifié de sa mouille, je la sodomisais donc avec force. La japonaise est une femme qui a l’habitude d’être soumise, elle aime être prise avec vigueur, ce que je fis sans me faire prier. Mes mouvements dans son petit chemin étaient de plus en plus forts, je la tenais par les hanches pour mieux la prendre en profondeur. A chaque pénétration je l’entendais gémir un peu plus fort, j’allais de plus en plus fort dans ce petit cul offert, mon plaisir était immense, je sentais l’anneau musculaire de son anus s’ouvrir et se fermer au rythme de mon va et vient…De sa main elle caressait son clito, pendant qu’à coté de nous Kenori ne perdait pas une miette de ce spectacle elle se caressait le clito vigoureusement.
Alors que mes mouvement devenaient de plus en plus fort, que chaque mouvement de mon pubis contre les fesses de Kumiko faisait un claquement de plus en plus fort, je la défonçais, et elle aimait ça…

N’en pouvant plus, mon plaisir à son paroxysme, j’éclatait et inondait son cul de ma semence..Elle se mit aussi à hurler son plaisir, et je sentis son corps se raidir, puis le fruit liquide de son orgasme couler le long de mes cuisses…

Il ne fallu que quelques secondes avant que Kenori ne s’approche de nous, me fasse signe de sortir du petit cul divin de sa collègue de travail. Je m’exécutais, elle s’empressa d’enfourner mon sexe dans sa bouche, pour récupérer ce qui pouvait encore l’être et nettoyer mon sexe avidement.
Après quelques minutes de repos, Kenori qui n’avait pas encore reçu mon sexe me fit comprendre que je devais aussi l’honorer… même si dans l’esprit d’une japonaise, cela veut surtout dire « tu peux aussi te servir de mon corps pour libérer tes pulsions et ton désir sexuel » . Kumiko, serviable, se mit à me faire aussi une fellation, et je compris à ce moment qu’il n’y a pas que Kenori qui est une experte… Kumiko n’avait rien à lui envier dans la technique…
Je fus rapidement à nouveau en forme, et cette fois c’est le petit cul de Kenori qui m’accueilli et que je défonçais vigoureusement. Tout comme Kumiko, Kenori était une experte de la sodomie et savait bien comment augmenter le plaisir de l’homme qui lui défonçait le cul, en jouant avec les muscle de ses sphincter anals…Elle ne gémissait pas comme Kumiko, mais haletait comme une petite chienne en chaleur qu’elle était. Pendant que je la sodomisais, mes doigts exploraient sa chatte, et je les ressortais pour déguster son jus de plus en plus abondant et de plus en plus savoureux.

Finalement, comme tout homme quel qu’il soit a une résistance limitée, au bout d’un bon quart d’heure dans ce petit cul, je finis par l’inonder aussi de ma semence brulante… Comme Kumiko, Kenori, m’arrosa abondement les couilles et les cuisses avec son jus intime ; je n’eus pas le loisir de m’en délecter, car avant que je ne pusse faire quoi que ce soit, Kumiko se jeta sur moi pour lécher aussi bien le sperme resté sur mon sexe, que le jus de Kenori rependu sur mes cuisses et mes couilles.

Cette nuit fut bien longue, mes partenaires étaient très fortes pour me redonner vigeur, ce qui me permit de me vider dans chacun de leur orifice, avant que nous les trois finissions par nous endormir, épuisés mais comblés.
Le lendemain matin, après une douche, classique cette fois-ci, nous descendîmes au petit déjeuner, puis elles m’accompagnèrent au taxi, nous nous quittâmes sans effusion, avec les courbettes habituelles et je sentais dans leur regard le regret de me voir partir.

Connaissant la culture japonaise, je passai le vol retour à me demander si les deux jeunes femmes étaient venues passer leur nuit avec moi par simple désir et envie, ou si elles avaient obéi à une demande de leur supérieur qui souhaitait me remercier de ma fructueuse coopération lors de cette semaine de négociation….

Je ne le saurai probablement jamais, mais cela est-il si important ?

Vivement ma prochaine mission au Japon.

jan 242012

En fin de 3e, le conseil de classe ne s’est guère posé de question quant à mon orientation. En septembre suivant, je me suis retrouvé à Hennebont en lycée professionnel pour apprendre l’électronique. La formation s’achevait au bout de 2 ans par un stage en entreprise. Il y a un peu plus de 20 ans je rencontrais donc Joël à Dep dépannage. L’homme d’une quarantaine d’année ne semblait pas particulièrement enchanté de se traîner un adolescent pendant 3 semaines, mais il m’a accueilli avec gentillesse et moqueries. J’étais vraiment un adolescent complètement à l’ouest. Je planais vraiment, mais j’essayais de suivre Joël au mieux. J’allais chez les clients avec lui le matin, je regardais le frigo ou la télé à dépanner. L’après-midi se passait à l’atelier à chercher les pannes.

Le premier jeudi matin, nous sommes allé à Kervénanec. Joël m’a demandé de rester dans la voiture : il n’en aurait pas pour longtemps. En fait, son absence s’est un peu éternisée et le patron a appelé sur la radio de la voiture. J’ai répondu et expliqué que je ne savais pas où était Joël. Le patron s’est mis en colère : le dépannage n’était noté nul part, Joël n’était pas censé me laisser seul… La nouvelle a troublé le dépanneur. Joël a rapidement mis au point un scénario que je devais débiter au patron pour expliquer son absence. Le dirigeant de l’entreprise n’a qu’à moitié gobé l’histoire, mais il n’a pas cherché plus loin…

Le jeudi suivant, nous sommes retourné à Kervénanec. Joël m’a indiqué où il allait, hall 6, l’appartement 322, 3e étage. “Si le patron appelle, tu lui dis que tu es juste venu chercher un outil et ru viens me chercher.” Le patron s’est effectivement manifesté, j’ai débité mon histoire et j’ai été cherché Joël. Il a mis un moment à répondre. Quant il a ouvert la porte, j’ai pu apercevoir une femme en robe de chambre. Elle a dit à Joël : “Mais il est mignon tout plein ton stagiaire !” Joël, lui, était énervé. Sur le chemin du retour, j’ai eu l’impression qu’il me faisait la gueule. En tout cas, il n’a pas décroché un mot.

C’était le dernier jeudi du stage. Ce coup-la, je ne suis pas resté dans la voiture. Joël m’a signifié de prendre sa caisse à outil et de l’accompagner. “Tu vas essayé de trouver la panne tout seul”, m’a-t-il dit avec un grand sourire. En arrivant, il m’a expliqué : “Le magnétoscope ne fonctionne plus. Tu vas essayé de trouver ce qui se passe.” La même femme que la dernière fois a ouvert la porte, mais cette fois elle était vêtue d’une nuisette légèrement transparente. Je n’osais pas la regarder du coup ! Joël s’est dirigé vers la cuisine, elle m’a accompagné dans la salle.

J’ai commencé à examiner le magnétoscope. Un film était coincé dedans. C’était un film X. À 16 ans, je n’en avais jamais vu. Les images du porno m’ont tout de suite filé la trique. Mon bleu de travail ne cachait rien… La cliente s’en est rendu compte. J’étais rouge comme une pivoine. La femme d’une quarantaine d’année m’a rassuré : “C’est normal. Tu es déjà un homme.” Elle a ouvert ma combinaison. Je ne savais plus où me mettre, mais je la laissais faire… Elle s’est mise à genoux pour me sucer.

Je lui rappelais que Joël se trouvait dans la pièce à côté. Elle a rigolé et a continué à me pomper le dard. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Quelques minutes plus tard, j’éjaculais dans sa bouche. Mais je jouis bruyamment, aujourd’hui encore. Et tandis que la cliente continuait à me pomper la bite, Joël a débarqué. Je ne l’avais pas entendu venir. Adolescent, je pouvais jouir 5 à 6 fois de suite. À 40 ans, deux fois semble être devenu un maximum. Mon érection était déjà de retour quand je me suis rendu compte que Joël nous avais rejoint. Il a baissé la braguette de son bleu de haut en bas, libérant sa bite. Il n’avait pas de slip, ce qui m’avait surpris à l’époque ! La cliente a lâché ma bite pour prendre la sienne en bouche. Je n’avais jamais vu de sexe masculin excepté sous les douches. Sa bite était plus petite que la mienne, mais plus épaisse. D’un geste sûr, il a mis sa main sur la tête de la femme et a commencé des va-et-viens dans sa bouche. Elle a commencé à gémir. Il l’a relevé pour lui enlever sa nuisette avant de l’allonger sur le canapé, puis il l’a pris et a vite commencé pilonner. “Approche toi !,m’ a-t-il ordonné, elle va te sucer.” J’ai placé mon sexe au-dessus de sa bouche… et de fait juste en dessous de la sienne. Elle m’a pris en bouche… Elle gémissait au rythme des coups de boutoir du dépanneur. Il a voulu l’embrasser, j’ai senti leurs langues se mêler sur ma bite. Il s’est arrêté pour me laisser la place. Au bout de plusieurs essais, elle m’a guidé pour me faire rentrer en elle car je ne savais pas m’y prendre. Je découvrais la chaleur et l’humidité d’un vagin. Pendant ce temps, Joël se faisais sucer. J’avais quasiment le nez sur sa bite pendant que je m’agitais en elle. D’un coup, Joël sans rien dire m’a pris la tête et a mis sa bite dans ma bouche. J’ai failli m’étouffer, mais il a continué à aller et venir dans ma bouche. Il a éclaté de rire pendant qu’il ressortait sa bite pour rejoindre celle de la cliente et m’a dis : “T’en auras appris des choses durant ce stage, hein ?” Quand j’ai eu jouis, je suis sorti de la cliente. Joël a pris la place en disant :”Oh, nan, putain… tu l’as couvert de sperme !” Mais ça ne l’a empêché de l’enfiler. J’en voulais encore. Elle m’a sucé à nouveau. J’ai vite bandé. Et quant Joël a lâché la sauce, je l’ai prise une fois encore. Et je l’ai limé comme j’avais vu Joël faire. Elle a joui et moi aussi. Je sentais les contractions de son vagin sur ma bite. Je n’en pouvais plus de jouissance. C’était donc ça faire l’amour !

La cliente a lancé à Joël : “À 2 c’est mieux. Tout seul t’es trop rapide.” Il a haussé les épaules. Nous nous sommes rhabillé et avons rejoins la voiture. “Alors ça t’as plus ? C’était ta première fois ?” Comme je répondais par l’affirmative, il m’a donné une claque dans le dos en me lançant : “Ben t’es un homme maintenant !” “Au fait, a-t-il demandé, c’était quoi la panne ?” “La k7 était coincé”, ai-je répondu. Avant de retrouver l’atelier, il m’a dit : “Pas un mot hein ?” Le lendemain soir, le stage se terminait. Mais moi aussi j’habitais à Kervénanec…

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