nov 272012

Cela faisait longtemps que je voulais amener Chantal visiter le Musée de l’érotisme. J’y étais allé à différentes occasions de vernissages avec un pote. Cette après-midi d’aout, il y a vraiment peu de visiteurs, car il faisait beau sur la ville. Je ne me souviens plus à quelle occasion nous nous y sommes retrouvés mon amie et moi. Un caissier nous délivre des tickets d’entrée. Nous sommes apparemment les seuls. Au premier étage on trouve une exposition de toiles de peintres de femmes nues. Chantal n’aime pas beaucoup. On s’attarde devant une toile montrant une femme nue jusqu’à la taille et qu’un homme, son mari ou ami peut-être, exhibe à un groupe de personnages assis dans un salon luxueux. Au deuxième étage nous sommes seuls également. Pas pour longtemps car j’aperçois soudain un visiteur isolé. Je suis contrarié car je projetais de m’amuser avec Chantal. Il est apparemment en admiration devant une vitrine dans laquelle on aperçoit des figurines représentant des scènes érotiques. Je laisse Chantal regarder les photos aux murs. Absorbé par des photos montrant des scènes fétichistes, je la perds de vue. Quand je la retrouve, elle s’est approché fortuitement de l’inconnu. Je la laisse seule. Je me fais des plus discrets.
Ce type doit aimer le sexe et la présence d’une femme dans ce lieu ne peut qu’attirer son attention et même susciter son intérêt. Chantal est jolie ce jour là. Il fait beau, elle porte une jupe de coton rouge légère qui lui arrive à mi cuisses et des petites chaussures à talons courts rehaussent ses jambes fines et nues. Elle a enlevé son blouson qu’elle porte à son bras car il fait encore plus chaud dans les étages. En haut elle porte son pull bleu léger en cachemire, décolleté en V sans soutien gorge. Ses seins se dessinent bien et pointent légèrement sous le vêtement. Elle est sexy. Elle est très détendue même si certains objets ou images la troublent ou l’énervent.
Elle a bien repéré le nouveau venu mais elle ne lui prête aucune importance et sa présence n’a pas l’air de la gêner. L’homme aussi, apparemment, l’a repérée car il semble rester sur place pour l’attendre. Il est planté devant ses figurines. Bien entendu Chantal arrive à sa hauteur. Discrètement elle regarde les figurines. Elle a l’air elle aussi de les trouver intéressantes. Comme les vitrines ne sont pas très larges, elle s’est forcément rapprochée de l’inconnu. Il lève la tête, la regarde et lui adresse un sourire discret auquel elle répond poliment. Tous deux replongent dans la contemplation des figurines.
Je m’écarte pour la laisser seule. Je vois que soudain l’inconnu la regarde en coin, et j’imagine, comme elle se penche au dessus de la vitrine, qu’il tente de lorgner dans le V du pull pour essayer de voir ce qu’il y a dedans ! Il insiste même au point de ne plus regarder la vitrine. Chantal ne s’aperçoit de rien, les yeux sur les objets exposés. Cette image me trouble. Cela m’excite de savoir qu’elle intéresse un autre homme. Je sens soudain comme une pression sur ma queue. L’homme reste très près de Chantal, à la toucher. A un moment il s’écarte pour la laisser se déplacer devant la vitrine. Il lui adresse la parole, elle le regarde mais ne répond pas. Têtu, il revient à la charge avec un large sourire et cette fois elle lui répond. Je n’entends pas ce qu’ils disent. Ils échangent même maintenant quelques mots et je comprends qu’ils partagent leurs impression sur les figurines. Chantal s’éloigne.
Ce jeu m’excite de plus en plus, je décide de la laisser seule. Évidemment, l’individu la suit. Il lui désigne une statue posée au milieu de la pièce et semble lui expliquer quelque chose. Chantal, attentive, l’écoute, sourit et même se met à rire. Incroyable ! Elle se laisse draguer. Ils poursuivent la visite ensemble. Je deviens mateur. Je les vois qui sympathisent de plus en plus. Il lui montre des objets qu’il commente, s’arrête devant des photos assez hard et ma femme l’écoute attentive. Je suis pris d’une pique de jalousie devant cette complicité évidente avec ce mec qui a osé l’aborder dans ce lieu public voué au sexe.
A un moment je le vois la prendre par la taille, l’attirer vers lui et pointer sa main vers un objet précis, elle ne réagit pas. Comme ils continuent leur visite, il la maintien toujours. Elle se dégage bien une première fois, mais comme il revient et insiste, séduite, elle se laisse aller. Cette fois je bande, la jalousie me tenaille et m’excite en même temps. Ils s’engagent vers l’escalier pour monter à l’étage supérieur. Comme elle passe devant je le vois qui mate ses jambes. Son déhanchement fait danser sa fine jupe. Elle est vraiment excitante. Ce type, plutôt beau mec, la séduite, elle m’oublie complètement. On est toujours seuls dans l’établissement. Je les suis à distance et quand j’arrive au dernier étage, je ne les vois pas tout de suite. Dans cette salle, il y avait une exposition de photos de bondage. Des femmes attachées, photographiées dans toutes les positions. Chantal à plusieurs reprises m’avait dit son aversion pour ce genre de pratique. Je reste caché dans l’escalier en essayant de les voir. J’entends son rire dans un renfoncement de la pièce. Je m’approche silencieusement. Il l’a prise dans ses bras, l’enlace et tente de lui voler un baiser. Elle me cherche du regard, se dégage sans me repérer. Il la rattrape, continue à lui parler tout en lui montrant des photos de plus en plus obscènes. Chantal rit de plus belle. Ma jalousie me faisait trembler.
Je décide de lui faciliter la tâche. Je me découvre m’approche d’eux pour dire que je redescends pour regarder un film ancien. Elle acquiesce sans hésitation, le gars est collé à elle et la tient toujours par la taille. Elle n’a pas bougé, restant enlacée devant moi. J’étais cocu. Bien sûr au lieu de descendre je me cache dans un renfoncement de la salle. Je tremble de partout et ma bite me fait mal, emprisonnée dans mon slip. D’où je suis je peux les voir distinctement. Ils se sont arrêtés devant un mannequin uniquement vêtu d’une guêpière rouge et de bas noirs. Ses seins sont nus. Le gars essaye à nouveau de l’embrasser promptement sur la bouche. Elle esquive. Et quand il veut à nouveau l’enlacer elle se dérobe encore, mais mollement. Dans un coin de la pièce, sur un petit guéridon, il y a des objets de bondage exposés. Une paire de menottes, une corde, un collier et des bracelets de cuir reliés par uns chaîne. Au dessus, un tableau accroché au mur montre une femme attachée par les poignets à une chaîne reliée à anneau fixé au plafond. Elle est tiraillée vers le haut si bien que seules ses pointes de pied touchent le sol. Chantal parait perplexe, il lui parle.
Soudain, elle pose son blouson et prend en main les bracelets pour les voir de plus près. En souriant elle s’en passe un au poignet droit. Son complice s’est approché d’elle, et lui a passe l’autre bracelet. Puis en riant il les serre aux poignets. Chantal a maintenant les mains liées. Elle rit et son visage est devenu écarlate. L’homme s’écarte pour la contempler. Il a l’air excité ! Il a dû lui proposer de poursuivre car je la vois qui lui fait un signe de tête d’assentiment. Alors le type se saisit de la corde, l’attache à la chaîne qui relie les deux bracelet, l’attire à lui et tente à nouveau tenter de lui voler un baiser. Il a approché son visage très près. Il marque une pause. Ils se toisent, leurs lèvres séparées de quelques centimètres. Leurs deux visages sont tendus, sérieux, les yeux dans les yeux. Quand il veut lui saisir sa bouche, Chantal détourne encore la tête puis elle éclate de rire, conquise. Elle lui tend ses mains pour l’inciter à continuer le jeu. Doucement il l’entraîne de l’autre côté de la pièce. A cet endroit, au plafond est suspendu un solide anneau. Je comprends : elle veut reproduire le tableau ! Il monte sur une chaise pour passer la corde dans l’anneau puis, lentement il tend la corde pour hisser les bras de Chantal qui se retrouve en un instant suspendue au plafond par les bras. Il tire encore plus pour la suspendre et l’obliger à se me mettre sur la pointe des pieds.
Dans cette position Chantal ne peut plus bouger au risque de perdre son équilibre. Elle est prisonnière. Elle rit mais elle comprend qu’elle est à la merci de cet inconnu. Il attache l’autre bout de la corde à un crochet au mur. Ainsi étirée, Chantal découvre son ventre et une bonne partie de ses cuisses pas loin de la culotte. Doucement l’inconnu s’approche d’elle et lui parle. Visiblement elle n’est plus d’accord car je la vois dire non de la tête. Mais il doit la rassurer car elle se met à rire. Il passe derrière elle, l’a saisit aux épaules et la faite tourner un tour sur elle même sans qu’elle puisse émettre une quelconque résistance. Elle était bien suspendue. Si elle avait voulu à ce moment elle pouvait toujours m’appeler. Mais visiblement la situation ne doit pas trop l’effrayer. Il se saisit du bord de la jupe qu’il soulève pour lui mater les fesses : ça devient hard. Je n’en peux plus, je sors ma bite et lentement je me caresse.
Chantal porte une petite culotte blanche en coton, très évasée qui lui découvre une large partie de ses fesses. L’homme regarde sans toucher en contemplation et il a compris que cela devait être humiliant pour cette femme de se sentir exhibée, impuissante. Elle se plaint car aussitôt, il laisse retomber le tissu sur les fesses presque nues. Il lui fait refaire un demi tour. Elle ne rit pas mais semble accepter la situation. Cela me pique à nouveau dans ma jalousie : ma tendre épouse se laisse voir le cul par un inconnu sans vraiment protester ! Ils sont à nouveau nez à nez. Il s’approche d’elle et lui prend le visage dans ses mains pour l’attirer à lui. Elle se débat mollement en détournant la tête pour refuser le baiser qu’il tente encore de lui voler. Très vite sa résistance est vaincue, impuissante qu’elle est à se défendre ainsi suspendue. Les yeux grands ouverts elle semble lui demander de ne pas abuser. Puis elle se tait et je la vois qui respire de plus en plus vite, certainement excitée par la situation. A aucun moment elle ne semble s’être inquiétée de moi ni de ma possible venue. Ma jalousie était à son comble et je suis au bord de l’éjaculation. J’oublie que je suis en un lieu public et qu’on peut me surprendre à tout moment en train de me branler. Quand il pose ses lèvres sur les siennes, elle ferme les yeux, leurs bouches s’entrouvrent pour échanger leur baiser.
Ils s’embrassent pleine bouche maintenant et de ma cachette je vois nettement leurs langues se mêler.L’abandonnant, il s’éloigne d’elle de quelques mètres pour la regarder, la contempler encore. Il lui sourit gentiment, presque tendrement. Visiblement il est également sous le charme. Trente minutes plus tôt, ils ne se connaissaient pas ! La jupe remontée presque en haut des cuisses sur les jambes nues, le pull découvrant son ventre, elle est presque nue sous les yeux de son voyeur. Elle le regarde droit dans les yeux comme par défi. La fine laine du pull en Cachemire dessine le galbe de ses seins dont on voit clairement les bouts pointer sous le fin tissu. Elle serre les cuisses comme pour se protéger des regards de l’inconnu. Lentement il se rapproche d’elle, silencieux. Il la sait à sa merci. Doucement il soulève le bas du pull découvrant ses seins qui apparaissent blancs au milieu de la pièce abondamment éclairée. Il les contemplent d’abord puis il en saisit les bouts entre ses doigts pour les faire rouler. Aussitôt, ma femme qui aime cette caresse, se met à se contorsionner, en équilibre précaire. Elle adore se faire bander le bout des seins, aussi elle tend sa poitrine vers la bouche qui maintenant la suce. Puis l’homme se met à les pétrir sans douceur. Il est très excité.
Il lui reprend la bouche et à nouveau s’empare de sa langue. Chantal halète si fort que je l’entends de ma cachette. Elle prend vraiment son plaisir. Abandonnant ses seins il a passe une main sous la jupe pour la placer entre ses cuisses et la toucher au sexe. Elle se contorsionne de plus belle sous la caresse. Elle est rouge écarlate et elle respire de plus en plus, oubliant où elle se trouve sous l’emprise de la main qui la fouille. A un moment, je l’entends sans vraiment de conviction, dire qu’il fallait arrêter car je pouvais revenir.Mais l’homme maintenant n’écoute plus, il est tout à son plaisir. A la position que prend son bras, j’imagine facilement qu’il lui fouille le ventre sans retenue et elle prend du plaisir à se faire branler. Sa respiration s’accélère, elle geint de plus en plus fort. Elle pousse maintenant des petits cris qu’elle étouffe pour ne pas crier. L’homme la doigte avec vigueur tout en lui suçant les seins. Moi je n’en peux plus. Ma queue dure comme du bois, me faisait mal. Un mélange d’excitation et de jalousie mélangé à de la honte. Caché, je me branle en regardant ma femme se faire besogner par un inconnu qui a réussi à l’attacher pour la soumettre à ses désirs !
De son autre main, il lui pelote le cul sous la jupe et la presse contre lui pour bien la travailler. La bosse dessinée à l’endroit de sa braguette montre son excitation. Le rythme de sa main cachée sous la jupe s’accélère et soudain Chantal jouit en laissant échapper un cri. Je la vois alors se relâcher dans les bras de son violeur. Ils restent immobiles quelques instants pour reprendre leur souffle. J’imagine qu’il a dû jouir également sans se toucher.
Puis doucement il lui cache les seins sous le pull, rajuste la jupe. Il va décrocher la corde de l’anneau pour libérer sa proie. Chantal est encore toute rouge. Elle remet de l’ordre dans sa tenue et sans un mot, reprend sa veste. Elle a regarde l’inconnu dans les yeux, s’approche de lui et rapidement elle déposé sur ses lèvres un baiser chaste comme pour le remercier du plaisir qu’il venait de lui faire connaître. Puis lentement elle se dirige vers l’escalier pour venir me retrouver. Je n’ai eu que le temps de m’esquiver pour aller la recevoir à l’étage en dessous. On continue à regarder les objets exposés puis Chantal demande à partir. On redescend tranquillement. Au rez-de-chaussée, l’homme a rejoint le caissier qui fixe Chantal avec intérêt et insistance. Je devine facilement qu’il avait dû tout lui raconter. Chantal qui a compris se met à rougir de honte.On a pris congé et sur le trottoir j’ai simplement fait remarquer à Chantal qu’elle avait fait de l’effet aux deux hommes. Elle n’a rien dit.

sept 252012

Ma femme n’aime pas que je m’attarde. Huguette craint que je fréquente une autre femme. Je ne sais pas pourquoi : je lui suis fidèle depuis toujours. Il paraît que la jalousie ne se commande pas. L’été dernier nous sommes partis en vacances en Tunisie. C’est moi qui commençais à en avoir, des craintes. Au restaurant en bord de mer, un garçon la trentaine faisait du plat à ma femme. Le soir même, je le lui en parlais et, à ma grande surprise, elle me disait que ça lui faisait plaisir d’être courtisée.

Les jours suivants, la cour que lui faisait ce garçon était de plus en plus pressante. Le soir nous faisions l’amour avec une vigueur inhabituelle et avec une satisfaction qui me semblait plus forte que d’habitude. Le lendemain, même manège, le garçon lui débitait des fadaises qui devaient l’exciter, puisque, la nuit, elle me faisait l’amour avec de plus en plus de rage. Je n’y tenais plus et une idée me traversait l’esprit : et si nous l’invitions un soir à venir dans notre chambre, est-ce qu’elle serait d’accord pour baiser à trois ? Elle m’a regardé étonnée par ma proposition pour enfin me répondre que si je le désirais elle l’inviterait. Mais elle ne me garantissait rien !

Le soir suivant, elle interrompait les bavardages de ce garçon pour lui proposer devant moi de venir “tirer un coup” avec nous. Elle n’avait pas ce langage normalement. Après un moment d’hésitation, le garçon lui répondait qu’il ferait ce qu’elle voulait. Enfin il se présentait : Pierre, cadre commercial.

Dans notre chambre, le lit était assez vaste pour contenir 4 personnes. Sans perdre de temps, Huguette se déshabillait et, nue, venait m’embrasser profondément. Ensuite elle allait vers Pierre pour l’embrasser de la même manière. Je la voyais se frotter contre lui d’une façon très érotique : elle cherchait à le faire bander.

Pour ma part je bandais déjà de la voir entre les bras d’un autre. Je me déshabillais aussi et m’approchais de ma femme en espérant qu’elle me branlerait un peu. Je passais derrière elle et lui mettais la main sur les fesses : elle se laissait faire et savait que je n’allais pas m’arrêter là. Je lui mettais deux doigts plus bas pour arriver à son cul. Je le lui branlais quand je sentais une autre main venir sur la moule de ma femme. Elle avait écarté ses jambes et se trouvait avec deux mains qui s’occupaient de ses principales sources de jouissance. Elle jouissait relativement vite. Elle était toujours dans les bras de Pierre et donc me tournait le dos : je passais une main devant et lui caressais les seins: elle aimait que je lui pince légèrement les tétons.

Enfin elle se couchait et demandait à Pierre de venir sur elle et la baiser. Je voyais ses jambes écartées et son con presque entièrement ouvert. Pierre venait sur elle et il la pénétrait lentement, justement comme elle aimait pour débuter. Elle lui posait les jambes autour de ses hanches et suivait la cadence. C’était la première fois que je la voyais faire ça.

J’enviais Pierre quand Huguette jouissait. Après ce premier orgasme, elle se tournait et lui demandait de l’enculer. Je ne pouvais plus tenir tellement je bandais aussi je passais sous elle et lui mettais ma langue dans son con pour la sucer. Elle me prenait la queue dans sa bouche et me suçait au moins aussi bien. À ce moment je voyais clairement la bite de Pierre dans le cul d’Huguette. C’était plus qu’excitant. Soudain Huguette poussait un cri:

- je joujiiiiiiiiis.

Pierre jouissait aussi. Il n’y avait que moi à n’avoir pas joui.

Huguette demandait à Pierre de me branler. Après un moment d’hésitation, il prenait ma bite en main et se mettait en devoir de me donner du plaisir. Sans doute était-il excité de me branler car sa bite reprenait vie. Il bandait à nouveau. À mon grand étonnement, Huguette, qui se dévergondait décidément très vite, me demandait non pas de branler Pierre, mais de le sucer. Je n’avais jamais de ma vie pris une bite dans la bouche et je refusais tout net. Huguette insistait : je devais m’exécuter. Pierre me branlait toujours et ma femme voulait que je le suce et devant elle en plus. Pierre, de son côté, n’était pas contre et se tournait pour me mettre sa queue dans la bouche. J’étais gêné et ne savais trop comment faire. Huguette me donnait des instructions.

J’écoutais et prenais finalement la bite de Pierre dans ma bouche. Je léchais de bas en haut la tige avant de prendre entre mes lèvres la bite offerte. Pierre me branlait toujours: j’en tirais un drôle de plaisir. Enfin j’ai eu la surprise de sentir le sperme de Pierre qui se lançait dans ma bouche. Je me levais pour aller le cracher : Huguette m’arrêtait et me demandait de lui mettre dans sa bouche. Elle avalait à ma place le sperme de Pierre.

Pendant ce temps, elle se branlait sans arrêt. Elle devenait totalement déchaînée. À mon tour de la baiser : elle se mettait encore en levrette et je lui mettais ma bite au con. Excitée comme elle était, elle jouissait vite. Je sentais ce que j’aimais en elle à ces moments-là : ses crispations autour de ma bite. Et puis je sentais que Pierre venait à son tour. Je pensais qu’il allait demander à faire une double pénétration.

Ce n’était pas du tout ça. Il crachait sur mon cul et lentement m’enculait. Je n’ai eu mal qu’au tout début, ensuite, je sentais un autre plaisir m’envahir. Nos mouvements étaient synchronisés: je rentrais dans ma femme et lui sortait de mon cul et quand il y rentrait, je sortais du con de ma femme. Finalement nous avons joui presque ensemble. La nuit de débauche était finie. Huguette avait eu son comptant de baise. Pierre parti, Huguette avouait qu’elle avait pris beaucoup de plaisir. Et me proposait de recommencer au retour des vacances.

mar 242012

Suite à ma réponse, Michel et moi échangeons quelques mails et ils me demandent de me déplacer à Émerainville en Seine-et-Marne (77) pour que l’on puisse se rencontrer… J’accepte évidemment et je parviens malgré des bouchons monstres à destination. En buvant un verre, Michel m’explique le but de ma visite. Il cherche un mec pour baiser sa femme. C’est son grand fantasme. Visiblement je serais susceptible de faire l’affaire… Il m’explique qu’il va régulièrement dans un petit parking à côté d’un cimetière que longe la Francilienne. A cause de mon retard nous nous séparons sur ce parking. Je l’examine de fond en comble pour repérer les endroits où je pourrais me cacher…

déc 052011

Les 40 ans de ma femme resplendissent. Changement de travail… D’un petit magasin, elle entre dans une grosse structure et se retrouve comme manager avec des employées sous ses ordres. Si les débuts sont un peu difficiles, les difficultés s’atténuent assez vite grâce aux conseils de ses collègues, notamment ceux de Laurent, un jeune cadre qui lui devient vite indispensable. Me parlant souvent de lui, je vois qu’une complicité s’installe et Je note aussi qu’elle s’habille beaucoup plus sexy.

Je la sens limite volage et lui en faisant part, elle m’avoua qu’elle trouvait Laurent particulièrement à son goût et adorait le faire rougir. Seule la différence d’âge (18 ans) la gênait et freinait son envie de se jeter dans ses bras. Critiquant cette morale à deux balles, je l’encourageais à se laisser aller et cette tentation journalière relança notre couple. La voyant désireuse de ce jeune mâle, je ne fus pas surpris quand cette retenue vola en éclat quelques mois plus tard pour lui offrir une merveilleuse liaison et de supers souvenirs à notre couple.

Muté pour son travail, Laurent l’ invita à son pot de départ mais elle ne put s’y rendre et fut extrêmement déçue. Je l’ incitais à le provoquer pour obtenir un dîner en tête à tête avec un + si affinité si elle le désirait. et c’est ce qui se produit avec la complicité de Céline, une jeune collègue de ma femme. En effet, cette dernière, présente lors de la réception, prépara le terrain en confiant au jeune homme l’attirance de ma femme et apprit que c’était plus que réciproque. C’est dans ce contexte qu’il s’empressa d’inviter ma femme qui répondit de suite à son invitation et se rendit chez lui un soir de février pour dîner…

Avant de s’y rendre, elle me redemanda mon accord et je lui donnait mon feu vert lui demandant seulement de me prévenir si elle passait la nuit avec lui. Vers 20 H00, c’est avec une certaine excitation que je l’imaginais dans ses bras et n’ayant pas reçu d’appel, j’attendis avec impatience son retour. Je l’entendis entrer sans faire de bruit pour venir me rejoindre dans la chambre et voyant son visage rayonnant, je devinais de suite la conclusion qu’elle me confirma en me disant que cela c’était très bien passé et qu’elle l’avait fait …

N’ ayant pas manger, elle se restaura et elle me narra sa sortie amoureuse :

Arrivant chez lui à 20 h avec le cœur battant comme une adolescente, elle fut accueillie sans un mot par un long baiser auquel elle répondit pleinement. Puis, tout en s’embrassant et se caressant, il l’entraîna dans sa chambre où ils se dévêtirent mutuellement pour se retrouver nus dans le lit et faire l’amour. N’ayant eu aucun mal à se donner à lui, elle m’avoua avoir été prise à 4 reprises avec des moments de répit où ils dialoguèrent tout en se caressant. C’est là qu’elle apprit que c’était sa première expérience avec une vrai femme et très novice , qu’elle avait pris les initiatives en le suçant, en le chevauchant et en s’offrant en levrette . C’est elle aussi qui mit un terme à cette soirée malgré sa demande de rester la nuit avec lui.

Elle me confia qu’elle était énormément troublée , qu’il était énormément membré et qu’elle avait vécu cette soirée comme dans un rêve. Puis me soufflant qu’il désirait la revoir, elle m’avoua qu’elle en avait également très envie, souhait qui fut immédiatement accordé.

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