Ma femme n’aime pas que je m’attarde. Huguette craint que je fréquente une autre femme. Je ne sais pas pourquoi : je lui suis fidèle depuis toujours. Il paraît que la jalousie ne se commande pas. L’été dernier nous sommes partis en vacances en Tunisie. C’est moi qui commençais à en avoir, des craintes. Au restaurant en bord de mer, un garçon la trentaine faisait du plat à ma femme. Le soir même, je le lui en parlais et, à ma grande surprise, elle me disait que ça lui faisait plaisir d’être courtisée.
Les jours suivants, la cour que lui faisait ce garçon était de plus en plus pressante. Le soir nous faisions l’amour avec une vigueur inhabituelle et avec une satisfaction qui me semblait plus forte que d’habitude. Le lendemain, même manège, le garçon lui débitait des fadaises qui devaient l’exciter, puisque, la nuit, elle me faisait l’amour avec de plus en plus de rage. Je n’y tenais plus et une idée me traversait l’esprit : et si nous l’invitions un soir à venir dans notre chambre, est-ce qu’elle serait d’accord pour baiser à trois ? Elle m’a regardé étonnée par ma proposition pour enfin me répondre que si je le désirais elle l’inviterait. Mais elle ne me garantissait rien !
Le soir suivant, elle interrompait les bavardages de ce garçon pour lui proposer devant moi de venir “tirer un coup” avec nous. Elle n’avait pas ce langage normalement. Après un moment d’hésitation, le garçon lui répondait qu’il ferait ce qu’elle voulait. Enfin il se présentait : Pierre, cadre commercial.
Dans notre chambre, le lit était assez vaste pour contenir 4 personnes. Sans perdre de temps, Huguette se déshabillait et, nue, venait m’embrasser profondément. Ensuite elle allait vers Pierre pour l’embrasser de la même manière. Je la voyais se frotter contre lui d’une façon très érotique : elle cherchait à le faire bander.
Pour ma part je bandais déjà de la voir entre les bras d’un autre. Je me déshabillais aussi et m’approchais de ma femme en espérant qu’elle me branlerait un peu. Je passais derrière elle et lui mettais la main sur les fesses : elle se laissait faire et savait que je n’allais pas m’arrêter là. Je lui mettais deux doigts plus bas pour arriver à son cul. Je le lui branlais quand je sentais une autre main venir sur la moule de ma femme. Elle avait écarté ses jambes et se trouvait avec deux mains qui s’occupaient de ses principales sources de jouissance. Elle jouissait relativement vite. Elle était toujours dans les bras de Pierre et donc me tournait le dos : je passais une main devant et lui caressais les seins: elle aimait que je lui pince légèrement les tétons.
Enfin elle se couchait et demandait à Pierre de venir sur elle et la baiser. Je voyais ses jambes écartées et son con presque entièrement ouvert. Pierre venait sur elle et il la pénétrait lentement, justement comme elle aimait pour débuter. Elle lui posait les jambes autour de ses hanches et suivait la cadence. C’était la première fois que je la voyais faire ça.
J’enviais Pierre quand Huguette jouissait. Après ce premier orgasme, elle se tournait et lui demandait de l’enculer. Je ne pouvais plus tenir tellement je bandais aussi je passais sous elle et lui mettais ma langue dans son con pour la sucer. Elle me prenait la queue dans sa bouche et me suçait au moins aussi bien. À ce moment je voyais clairement la bite de Pierre dans le cul d’Huguette. C’était plus qu’excitant. Soudain Huguette poussait un cri:
- je joujiiiiiiiiis.
Pierre jouissait aussi. Il n’y avait que moi à n’avoir pas joui.
Huguette demandait à Pierre de me branler. Après un moment d’hésitation, il prenait ma bite en main et se mettait en devoir de me donner du plaisir. Sans doute était-il excité de me branler car sa bite reprenait vie. Il bandait à nouveau. À mon grand étonnement, Huguette, qui se dévergondait décidément très vite, me demandait non pas de branler Pierre, mais de le sucer. Je n’avais jamais de ma vie pris une bite dans la bouche et je refusais tout net. Huguette insistait : je devais m’exécuter. Pierre me branlait toujours et ma femme voulait que je le suce et devant elle en plus. Pierre, de son côté, n’était pas contre et se tournait pour me mettre sa queue dans la bouche. J’étais gêné et ne savais trop comment faire. Huguette me donnait des instructions.
J’écoutais et prenais finalement la bite de Pierre dans ma bouche. Je léchais de bas en haut la tige avant de prendre entre mes lèvres la bite offerte. Pierre me branlait toujours: j’en tirais un drôle de plaisir. Enfin j’ai eu la surprise de sentir le sperme de Pierre qui se lançait dans ma bouche. Je me levais pour aller le cracher : Huguette m’arrêtait et me demandait de lui mettre dans sa bouche. Elle avalait à ma place le sperme de Pierre.
Pendant ce temps, elle se branlait sans arrêt. Elle devenait totalement déchaînée. À mon tour de la baiser : elle se mettait encore en levrette et je lui mettais ma bite au con. Excitée comme elle était, elle jouissait vite. Je sentais ce que j’aimais en elle à ces moments-là : ses crispations autour de ma bite. Et puis je sentais que Pierre venait à son tour. Je pensais qu’il allait demander à faire une double pénétration.
Ce n’était pas du tout ça. Il crachait sur mon cul et lentement m’enculait. Je n’ai eu mal qu’au tout début, ensuite, je sentais un autre plaisir m’envahir. Nos mouvements étaient synchronisés: je rentrais dans ma femme et lui sortait de mon cul et quand il y rentrait, je sortais du con de ma femme. Finalement nous avons joui presque ensemble. La nuit de débauche était finie. Huguette avait eu son comptant de baise. Pierre parti, Huguette avouait qu’elle avait pris beaucoup de plaisir. Et me proposait de recommencer au retour des vacances.