En fin de 3e, le conseil de classe ne s’est guère posé de question quant à mon orientation. En septembre suivant, je me suis retrouvé à Hennebont en lycée professionnel pour apprendre l’électronique. La formation s’achevait au bout de 2 ans par un stage en entreprise. Il y a un peu plus de 20 ans je rencontrais donc Joël à Dep dépannage. L’homme d’une quarantaine d’année ne semblait pas particulièrement enchanté de se traîner un adolescent pendant 3 semaines, mais il m’a accueilli avec gentillesse et moqueries. J’étais vraiment un adolescent complètement à l’ouest. Je planais vraiment, mais j’essayais de suivre Joël au mieux. J’allais chez les clients avec lui le matin, je regardais le frigo ou la télé à dépanner. L’après-midi se passait à l’atelier à chercher les pannes.
Le premier jeudi matin, nous sommes allé à Kervénanec. Joël m’a demandé de rester dans la voiture : il n’en aurait pas pour longtemps. En fait, son absence s’est un peu éternisée et le patron a appelé sur la radio de la voiture. J’ai répondu et expliqué que je ne savais pas où était Joël. Le patron s’est mis en colère : le dépannage n’était noté nul part, Joël n’était pas censé me laisser seul… La nouvelle a troublé le dépanneur. Joël a rapidement mis au point un scénario que je devais débiter au patron pour expliquer son absence. Le dirigeant de l’entreprise n’a qu’à moitié gobé l’histoire, mais il n’a pas cherché plus loin…
Le jeudi suivant, nous sommes retourné à Kervénanec. Joël m’a indiqué où il allait, hall 6, l’appartement 322, 3e étage. “Si le patron appelle, tu lui dis que tu es juste venu chercher un outil et ru viens me chercher.” Le patron s’est effectivement manifesté, j’ai débité mon histoire et j’ai été cherché Joël. Il a mis un moment à répondre. Quant il a ouvert la porte, j’ai pu apercevoir une femme en robe de chambre. Elle a dit à Joël : “Mais il est mignon tout plein ton stagiaire !” Joël, lui, était énervé. Sur le chemin du retour, j’ai eu l’impression qu’il me faisait la gueule. En tout cas, il n’a pas décroché un mot.
C’était le dernier jeudi du stage. Ce coup-la, je ne suis pas resté dans la voiture. Joël m’a signifié de prendre sa caisse à outil et de l’accompagner. “Tu vas essayé de trouver la panne tout seul”, m’a-t-il dit avec un grand sourire. En arrivant, il m’a expliqué : “Le magnétoscope ne fonctionne plus. Tu vas essayé de trouver ce qui se passe.” La même femme que la dernière fois a ouvert la porte, mais cette fois elle était vêtue d’une nuisette légèrement transparente. Je n’osais pas la regarder du coup ! Joël s’est dirigé vers la cuisine, elle m’a accompagné dans la salle.
J’ai commencé à examiner le magnétoscope. Un film était coincé dedans. C’était un film X. À 16 ans, je n’en avais jamais vu. Les images du porno m’ont tout de suite filé la trique. Mon bleu de travail ne cachait rien… La cliente s’en est rendu compte. J’étais rouge comme une pivoine. La femme d’une quarantaine d’année m’a rassuré : “C’est normal. Tu es déjà un homme.” Elle a ouvert ma combinaison. Je ne savais plus où me mettre, mais je la laissais faire… Elle s’est mise à genoux pour me sucer.
Je lui rappelais que Joël se trouvait dans la pièce à côté. Elle a rigolé et a continué à me pomper le dard. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Quelques minutes plus tard, j’éjaculais dans sa bouche. Mais je jouis bruyamment, aujourd’hui encore. Et tandis que la cliente continuait à me pomper la bite, Joël a débarqué. Je ne l’avais pas entendu venir. Adolescent, je pouvais jouir 5 à 6 fois de suite. À 40 ans, deux fois semble être devenu un maximum. Mon érection était déjà de retour quand je me suis rendu compte que Joël nous avais rejoint. Il a baissé la braguette de son bleu de haut en bas, libérant sa bite. Il n’avait pas de slip, ce qui m’avait surpris à l’époque ! La cliente a lâché ma bite pour prendre la sienne en bouche. Je n’avais jamais vu de sexe masculin excepté sous les douches. Sa bite était plus petite que la mienne, mais plus épaisse. D’un geste sûr, il a mis sa main sur la tête de la femme et a commencé des va-et-viens dans sa bouche. Elle a commencé à gémir. Il l’a relevé pour lui enlever sa nuisette avant de l’allonger sur le canapé, puis il l’a pris et a vite commencé pilonner. “Approche toi !,m’ a-t-il ordonné, elle va te sucer.” J’ai placé mon sexe au-dessus de sa bouche… et de fait juste en dessous de la sienne. Elle m’a pris en bouche… Elle gémissait au rythme des coups de boutoir du dépanneur. Il a voulu l’embrasser, j’ai senti leurs langues se mêler sur ma bite. Il s’est arrêté pour me laisser la place. Au bout de plusieurs essais, elle m’a guidé pour me faire rentrer en elle car je ne savais pas m’y prendre. Je découvrais la chaleur et l’humidité d’un vagin. Pendant ce temps, Joël se faisais sucer. J’avais quasiment le nez sur sa bite pendant que je m’agitais en elle. D’un coup, Joël sans rien dire m’a pris la tête et a mis sa bite dans ma bouche. J’ai failli m’étouffer, mais il a continué à aller et venir dans ma bouche. Il a éclaté de rire pendant qu’il ressortait sa bite pour rejoindre celle de la cliente et m’a dis : “T’en auras appris des choses durant ce stage, hein ?” Quand j’ai eu jouis, je suis sorti de la cliente. Joël a pris la place en disant :”Oh, nan, putain… tu l’as couvert de sperme !” Mais ça ne l’a empêché de l’enfiler. J’en voulais encore. Elle m’a sucé à nouveau. J’ai vite bandé. Et quant Joël a lâché la sauce, je l’ai prise une fois encore. Et je l’ai limé comme j’avais vu Joël faire. Elle a joui et moi aussi. Je sentais les contractions de son vagin sur ma bite. Je n’en pouvais plus de jouissance. C’était donc ça faire l’amour !
La cliente a lancé à Joël : “À 2 c’est mieux. Tout seul t’es trop rapide.” Il a haussé les épaules. Nous nous sommes rhabillé et avons rejoins la voiture. “Alors ça t’as plus ? C’était ta première fois ?” Comme je répondais par l’affirmative, il m’a donné une claque dans le dos en me lançant : “Ben t’es un homme maintenant !” “Au fait, a-t-il demandé, c’était quoi la panne ?” “La k7 était coincé”, ai-je répondu. Avant de retrouver l’atelier, il m’a dit : “Pas un mot hein ?” Le lendemain soir, le stage se terminait. Mais moi aussi j’habitais à Kervénanec…
Tres belle histoire , oui ce du etre merveilleux quelle pied , veinard . lol