J’ai lu sur le web qu’il y avait des rencontres au bois de Ferrières. Je décide donc d’aller y faire un tour un vendredi soir. J’arrive sur les lieux, mais je n’en sais pas plus. Je commence à explorer le coin en me disant que les infos du net ne sont pas les plus fiables. J’ai à peine entamé ma prospection que je vois une grosse voiture passer en trombe devant moi. Une seconde voiture semble lui filer le train. Je décide immédiatement de les suivre. On tourne comme ça pendant un quart d’heure avant que la berline ne s’engage dans une allée déserte. La seconde voiture s’arrête, un mec en sort et se dirige vers moi.
« Ils veulent qu’un seul mec ! », me lance-t-il. OK ! Devant ma bonne volonté, le type me dit : » Attends un peu et viens doucement. Peut-être que ça marchera. » Je patiente donc un peu. Sûrement moins que ce qu’il aurait souhaité. Je m’engage à mon tour dans l’allée tous feux éteints. Ils sont là tous les 3. Mon arrivée ne provoque pas de réactions. Je m’avance prudemment à leur hauteur pour ne pas casser l’ambiance.
Elle doit avoir 35, bien faite. Son mari a une dizaine d’année de plus. Je m’approche d’eux à pas de loup et je baisse mon ben. Elle me prend en bouche pendant que son mari fait des commentaires salaces et que mon comparse explore son bas-ventre. Elle nous suce tous les 2 à tour de rôle et avec application. Elle prend son temps. J’apprécie énormément le piquant de la situation. Quand mon comparse a eu joui sur sa poitrine, le vent tourne. Toujours aussi autoritaire, le mari nous intime : « Laissez-nous maintenant, messieurs ». Je retourne à ma voiture, mais contrairement à mon comparse, je reste sur place à observer le spectacle. Mais moi je n’ai pas joui ! Au bout d’un moment, excité par la vision du mec qui prend en levrette sa nana, je me rapproche à nouveau. Deuxième coup de cul de la soirée. le mari ne bronche pas… Il jouit bruyamment il est vrai. Il maintient sa femme en place par les hanches, m’interroge : « T’as une capote ? » Évidemment ! Il ordonne alors à sa femme : « Bouges pas toi ! Il va te finir ! » J’enfile le préservatif. D’une main je me tiens la bite, de l’autre je cherche l’entrée. je déteste ce moment, mais là je m’en sors bien. D’un coup de rein, je la prend. Je la sent frémir. Délicieuse sensation que j’essaie de faire durer. Je sens mon plaisir monter autant que je sent que je lui donne du plaisir. J’essaie de faire durer. Mais le mari s’impatiente : « bourre la bien, cette salope » Message reçus 5 sur 5. J’accélère le rythme. Cinq minutes plus tard tout est consommé. Je me dirige vers la voiture les jambes en coton en me promettant de revenir souvent au bois de Ferrières.