Finalement, je suis allé à l’hyppocampe. J’aime bien cet endroit, un peu cher, mais propre et sympa. Il y avait du monde pour un jeudi après-midi. J’ai commencé par faire un tour de l’établissement. Une gourmande, encouragée par son mari, testait tout ce qui bougeait. Elle était à genoux sur la banquette, pompant son mari, qui lui le avait intimé par un « suce femme ! » que j’ai trouvé marrant, touchant par ce qu’il révélait de complicité, mais vraiment pas autoritaire. J’ai commencé à caresser madame, elle se tortillait pour m’encourager. Dès que j’ai commencé à bander, je l’ai prise. J’ai joui très vite et je suis reparti la queue basse, désolé de n’avoir pas durer plus longtemps.
Après quelques instants de repos dans le jaccuzzi, j’ai retrouvé cette femme accroché à une croix avec une dizaine de mecs autour d’elle. Trop de monde ! En poursuivant mon tour, j’ai remarqué Martine. Blonde, la quarantaine, une poitrine opulente, des forme généreuse. Elle était allongée sur une banquette, un mec la chevauchait vigourreusement tandis qu’elle en branlait un autre. Dans son élan, le premier mec a donné un coup de boule au second. Tout le monde a éclaté de rire !
Je me suis assis sur la banquette. J’ai commencé à la caresser, à l’embrasser… Je sentais sa petite langue contre la mienne. Pendant ce temps, un mec se branlait devant elle pour pouvoir la prendre. Il a réussi à rentrer deux fois avant de renoncer. Un Asiatique l’a immédiatement remplacé, mais ça n’a pas durer trop longtemps. Je m’y suis mis à mon tour. Nous sommes resté un bon moment tous les 3. Celui qui s’était pris le coup de boule, le mari, a demandé une pause. J’ai cessé de brouter le minou de Martine.
Finalement, nous nous sommes retrouvé tous les 3 une heure plus tard dans le jacuzzi à discuter. Christophe a décidé de remettre ça, mais que tous les 3 cette fois. Plein de calins à nouveau. C’était encore meilleur ! Par la force des choses, j’ai également commencé à caresser Christophe : pendant que je la prenais, il était au-dessus de sa bouche. J’ai noté qu’il s’était rasé l’anus. Ce n’était sans doute pas pour rien ! Un doigt m’a confirmé que ce genre de stimulation n’était pas pour lui déplaire. J’ai donc continué quand il a chevauché Martine à son tour. Il a joui deux fois de suite.
Pendant nos ébats, un mec a tenté de se joindre à nous. Je l’avais remarqué car il s’était tapé dans le sauna puis dans le hammam un superbe brune, la trentaine. Elle était emmené par son mari qui sélectionnait et donnait le rythme de l’après-midi. Christophe n’a pas voulu le laisser se joindre à nous. Je me suis dit que c’était dommage car il m’avait l’air d’un chaud partisan du triolisme. Nous nous sommes retrouvé tous les 4 dans les vestiaires à discuter de tout et de rien. En nous regardant habillés, je me suis dit que la bourgeoisie savait s’amuser. Martine m’a laissé son numéro de téléphone et je suis rentré.